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Chapitres 123456789101112 Chapitre 1 1 Les paroles du Prédicateur, fils de David, roi à Jérusalem. 2 Vanité des vanités, dit le Prédicateur ; vanité des vanités ! Tout est vanité. 3 Quel profit a l’homme de tout son labeur dont il se tourmente sous le soleil ? 4 Une génération s’en va, et une génération vient ; et la terre subsiste toujours. 5 Et le soleil se lève, et le soleil se couche, et il se hâte vers son lieu où il se lève, 6 Le vent va vers le midi, et il tourne vers le nord ; il tourne et retourne ; et le vent revient sur ses circuits. 7 Toutes les rivières vont vers la mer, et la mer n’est pas remplie ; au lieu où les rivières allaient, là elles vont de nouveau. 8 Toutes choses travaillent, l’homme ne peut le dire ; l’œil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se satisfait pas d’entendre. 9 Ce qui a été, c’est ce qui sera ; et ce qui a été fait, c’est ce qui se fera ; et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. 10 Y a-t-il une chose dont on puisse dire Regarde ceci, c’est nouveau ? — Elle a été déjà, dans les siècles qui furent avant nous. 11 Il n’y a pas de souvenir des choses qui ont précédé ; et de même, de celles qui seront après, il n’y en aura pas de souvenir chez ceux qui vivront* plus tard. — v. 11 litt. seront. 12 Moi, le prédicateur, j’ai été roi sur Israël à Jérusalem, 13 et j’ai appliqué mon cœur à rechercher et à explorer par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux c’est une occupation ingrate que Dieu a donnée aux fils des hommes afin qu’ils s’y fatiguent. 14 J’ai vu tous les travaux qui se font sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent*. 15 Ce qui est tordu ne peut être redressé, et ce qui manque ne peut être compté. — v. 14 ou se repaître de vent, ou, selon quelques-uns rongement d’esprit. 16 J’ai parlé en mon cœur, disant Voici, je suis devenu grand et j’ai acquis de la sagesse plus que tous ceux qui ont été avant moi sur Jérusalem, et mon cœur a vu beaucoup de sagesse et de connaissance ; 17 et j’ai appliqué mon cœur à la connaissance de la sagesse et à la connaissance des choses déraisonnables et de la folie. J’ai connu que cela aussi, c’est la poursuite du vent. 18 Car à beaucoup de sagesse, beaucoup de chagrin ; et qui augmente la connaissance, augmente la douleur. Chapitre 2 1 J’ai dit en mon cœur Allons ! je t’éprouverai par la joie jouis* donc du bien-être. Et voici, cela aussi est vanité. 2 J’ai dit au rire [Tu es] déraison ; et à la joie Que fait-elle ? 3 J’ai recherché* en mon cœur de traiter ma chair avec du vin, tout en conduisant mon cœur par la sagesse, et de saisir la folie, jusqu’à ce que je visse quel serait, pour les fils des hommes, ce bien qu’ils feraient sous les cieux tous les** jours de leur vie. — v. 1 litt. vois, ici et verset 24, etc. — v. 3* ailleurs aussi exploré. — v. 3** litt. le nombre des, ici et 518 ; 612. 4 J’ai fait de grandes choses je me suis bâti des maisons, je me suis planté des vignes ; 5 je me suis fait des jardins et des parcs, et j’y ai planté des arbres à fruit de toute espèce ; 6 je me suis fait des réservoirs d’eau pour en arroser la forêt où poussent les arbres*. 7 J’ai acquis des serviteurs et des servantes, et j’en ai eu qui sont nés dans ma maison ; j’ai eu aussi des troupeaux de gros et de menu bétail, en grand nombre, plus que tous ceux qui ont été avant moi à Jérusalem. 8 Je me suis aussi amassé de l’argent et de l’or, et les trésors des rois et des provinces ; je me suis procuré des chanteurs et des chanteuses, et les délices des fils des hommes, une femme et des concubines. 9 Et je suis devenu grand et je me suis accru plus que tous ceux qui ont été avant moi à Jérusalem ; et pourtant ma sagesse est demeurée avec moi. 10 Et quoi que mes yeux aient désiré, je ne les en ai point privés ; je n’ai refusé à mon cœur aucune joie, car mon cœur s’est réjoui de tout mon travail, et c’est là la part que j’ai eue de tout mon travail. 11 Et je me suis tourné vers toutes les œuvres que mes mains avaient faites, et vers tout le travail dont je m’étais travaillé pour [les] faire ; et voici, tout était vanité et poursuite du vent, et il n’y en avait aucun profit sous le soleil. — v. 6 litt. qui pousse en arbres. 12 Et je me suis tourné pour voir la sagesse, et les choses déraisonnables et la folie ; car que fera l’homme qui viendra après le roi ? — ce qui a été déjà fait. 13 Et j’ai vu que la sagesse a un avantage sur la folie, comme la lumière a un avantage sur les ténèbres. 14 Le sage a ses yeux à sa tête, et le fou* marche dans les ténèbres ; mais j’ai connu, moi aussi, qu’un même sort les atteint tous. 15 Et j’ai dit en mon cœur Le sort du fou* m’atteint, moi aussi ; et pourquoi alors ai-je été si sage ? Et j’ai dit en mon cœur que cela aussi est vanité. 16 Car jamais on ne se souviendra du sage, non plus que du fou*, puisque déjà dans les jours qui viennent tout est oublié. Et comment le sage meurt-il comme le fou* ? 17 Et j’ai haï la vie, parce que l’œuvre qui se fait sous le soleil m’a été à charge, car tout est vanité et poursuite du vent. 18 Et j’ai haï tout le travail auquel j’ai travaillé sous le soleil, parce que je dois le laisser à l’homme qui sera après moi. 19 Et qui sait s’il sera un sage ou un sot* ? Et il sera maître de tout mon travail auquel j’ai travaillé et dans lequel j’ai été sage sous le soleil. Cela aussi est vanité. — v. 14, 15, 16 ailleurs sot. — v. 19 comme 103. 20 Alors je me suis mis* à faire désespérer mon cœur à l’égard de tout le travail dont je me suis travaillé sous le soleil. 21 Car il y a tel homme qui a travaillé avec sagesse, et avec connaissance, et avec droiture*, et qui laisse [ce qu’il a acquis] à un homme qui n’y a pas travaillé, pour être son partage. Cela aussi est vanité et un grand mal. — v. 20 litt. tourné. — v. 21 ou habileté. 22 Car qu’est-ce que l’homme a de tout son travail, et de la poursuite de son cœur, dont il s’est tourmenté sous le soleil ? 23 Car tous ses jours sont douleur, et son occupation est chagrin ; même la nuit son cœur ne repose pas. Cela aussi est vanité. 24 Il n’y a rien de bon pour l’homme que de manger et de boire, et de faire jouir son âme du bien-être dans son travail. Et j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. 25 Car qui peut manger, et qui peut jouir plus que moi ? 26 Car à l’homme qui est bon devant lui, [Dieu] donne sagesse et connaissance et joie ; mais à celui qui pèche, il donne l’occupation de rassembler et d’amasser, pour donner à celui qui est bon devant Dieu. Cela aussi est vanité et poursuite du vent. Chapitre 3 1 Il y a une saison pour tout, et il y a un temps pour toute affaire sous les cieux. 2 Il y a un temps de naître, et un temps de mourir ; un temps de planter, et un temps d’arracher ce qui est planté ; 3 un temps de tuer, et un temps de guérir ; un temps de démolir, et un temps de bâtir ; 4 un temps de pleurer, et un temps de rire ; un temps de se lamenter, et un temps de sauter de joie ; 5 un temps de jeter des pierres, et un temps d’amasser des pierres ; un temps d’embrasser, et un temps de s’éloigner des embrassements ; 6 un temps de chercher, et un temps de perdre ; un temps de garder, et un temps de jeter ; 7 un temps de déchirer, et un temps de coudre ; un temps de se taire, et un temps de parler ; 8 un temps d’aimer, et un temps de haïr ; un temps de guerre, et un temps de paix. 9 Celui qui agit, quel profit a-t-il de ce à quoi il travaille* ? 10 J’ai vu l’occupation que Dieu a donnée aux fils des hommes pour s’y fatiguer 11 il a fait toute chose belle en son temps ; et il a mis le monde dans leur cœur, de sorte que l’homme ne peut comprendre*, depuis le commencement jusqu’à la fin, l’œuvre que Dieu a faite. — v. 9 ou du [labeur] dont il se tourmente ? — v. 11 litt. trouver. 12 J’ai connu qu’il n’y a rien de bon pour eux, sauf de se réjouir et de se faire du bien pendant leur vie ; 13 et aussi que tout homme mange et boive, et qu’il jouisse* du bien-être dans tout son travail cela, c’est un don de Dieu. 14 J’ai connu que tout ce que Dieu fait subsiste à toujours ; il n’y a rien à y ajouter, ni rien à en retrancher ; et Dieu le fait, afin que, devant lui, on craigne. 15 Ce qui est a déjà été, et ce qui est à venir est déjà arrivé, et Dieu ramène ce qui est passé*. — v. 13 litt. voie. — v. 15 litt. recherche ce qui est chassé. 16 Et j’ai encore vu sous le soleil que, dans le lieu du jugement, là il y avait la méchanceté, et que, dans le lieu de la justice, là il y avait la méchanceté. 17 J’ai dit en mon cœur Dieu jugera le juste et le méchant ; car il y a là un temps* pour toute affaire et pour toute œuvre. — v. 17 plusieurs lisent car il a assigné un temps. 18 J’ai dit en mon cœur Quant aux fils des hommes [il en est ainsi], pour que Dieu les éprouve, et qu’ils voient eux-mêmes qu’ils ne sont que des bêtes. 19 Car ce qui arrive aux fils des hommes est aussi ce qui arrive aux bêtes ; il y a pour tous un même sort comme celle-ci meurt, ainsi meurt celui-là ; et ils ont tous un même souffle*, et l’homme n’a point d’avantage sur la bête, car tout est vanité. 20 Tout va dans un même lieu, tout est de poussière, et tout retourne à la poussière. 21 Qui est-ce qui connaît l’esprit* des fils des hommes ? Celui-ci monte-t-il en haut, et l’esprit* de la bête descend-il en bas dans la terre ? 22 Et j’ai vu qu’il n’y a rien de mieux [que ceci] que l’homme se réjouisse dans ce qu’il fait, car c’est là sa part ; car qui l’amènera pour voir ce qui sera après lui ? — v. 19, 21 souffle et esprit sont un même mot en hébreu. Chapitre 4 1 Et je me suis tourné, et j’ai regardé toutes les oppressions qui se font sous le soleil ; et voici les larmes des opprimés, et il n’y a point pour eux de consolateur ! Et la force est dans la main de leurs oppresseurs, et il n’y a point pour eux de consolateur ! 2 C’est pourquoi j’estime heureux les morts qui sont déjà morts, plutôt que les vivants qui sont encore vivants, 3 et plus heureux encore que tous les deux celui qui n’a pas encore été, qui n’a pas vu le mauvais travail qui se fait sous le soleil. 4 Et j’ai vu tout le labeur et toute l’habileté dans le travail que c’est une jalousie de l’un contre l’autre. Cela aussi est vanité et poursuite du vent. 5 Le sot se croise les mains, et mange sa propre chair. 6 Mieux vaut le creux de la main rempli, et le repos, que les deux mains pleines, avec le travail et la poursuite du vent. 7 Et je me tournai, et je vis la vanité sous le soleil 8 tel est seul sans qu’il y ait de second il n’a pas non plus de fils ni de frère, et il n’y a pas de fin à tout son labeur ; son œil n’est pas non plus rassasié par la richesse, et [il ne se dit pas] Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité et une ingrate occupation. 9 Deux valent mieux qu’un ; car ils ont un bon salaire de leur travail. 10 Car, s’ils tombent, l’un relèvera son compagnon ; mais malheur à celui qui est seul, et qui tombe, et qui n’a pas de second pour le relever ! 11 De même, si l’on couche à deux, on a de la chaleur ; mais celui qui est seul, comment aura-t-il chaud ? 12 Et si quelqu’un a le dessus sur un seul, les deux lui tiendront tête ; et la corde triple ne se rompt pas vite. 13 Mieux vaut un jeune garçon pauvre et sage, qu’un roi vieux et sot qui ne sait plus être averti. 14 Car il est sorti de la maison des prisonniers pour régner, lors même qu’il est né pauvre dans son royaume. 15 J’ai vu tous les vivants qui marchent sous le soleil, avec le jeune garçon, le second, qui occupera sa place. 16 Il n’y a pas de fin à tout le peuple, à tous ceux qui ont été devant eux ; cependant ceux qui viendront après ne se réjouiront point en lui. Car cela aussi est vanité et poursuite du vent. Chapitre 5 1 Prends garde à ton pied, quand tu vas dans la maison de Dieu, et approche-toi pour entendre, plutôt que pour donner le sacrifice des sots ; car ils ne savent pas qu’ils font mal. 2 Ne te presse point de ta bouche, et que ton cœur ne se hâte point de proférer une parole devant Dieu ; car Dieu est dans les cieux, et toi sur la terre c’est pourquoi, que tes paroles soient peu nombreuses. 3 Car le songe vient de beaucoup d’occupations, et la voix du sot de beaucoup de paroles. 4 Quand tu auras voué un vœu à Dieu, ne tarde point à l’acquitter ; car il ne prend pas plaisir aux sots ce que tu auras voué, accomplis-le. 5 Mieux vaut que tu ne fasses point de vœu, que d’en faire un et de ne pas l’accomplir. 6 Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair, et ne dis point devant l’ange que c’est une erreur. Pourquoi Dieu se courroucerait-il à ta voix, et détruirait-il l’œuvre de tes mains ? 7 Car dans la multitude des songes il y a des vanités, et aussi dans beaucoup de paroles ; mais crains Dieu. 8 Si tu vois le pauvre opprimé et le droit et la justice violentés dans une province, ne t’étonne pas de cela ; car il y en a un qui est haut au-dessus des hauts, [et] qui y prend garde et il y en a de plus hauts qu’eux. 9 La terre est profitable à tous égards, le roi même est asservi à la glèbe*. 10 Celui qui aime l’argent n’est point rassasié par l’argent, et celui qui aime les richesses ne l’est pas par le revenu. Cela aussi est vanité. 11 Avec l’augmentation des biens, ceux qui les mangent augmentent aussi ; et quel profit en a le maître, sauf qu’il les voit de ses yeux ? 12 Le sommeil est doux pour celui qui travaille, qu’il mange peu ou beaucoup ; mais le rassasiement du riche ne le laisse pas dormir. — v. 9 d’autres Mais l’avantage d’un pays, à tous égards, c’est un roi adonné à la culture des champs. 13 Il y a un mal douloureux que j’ai vu sous le soleil les richesses sont conservées à leurs maîtres pour leur détriment, 14 — ou ces richesses périssent par quelque circonstance malheureuse, et il a engendré un fils, et il n’a rien en sa main. 15 Comme il est sorti du ventre de sa mère, il s’en retournera nu, s’en allant comme il est venu, et de son travail il n’emportera rien qu’il puisse prendre dans sa main. 16 Et cela aussi est un mal douloureux, que, tout comme il est venu, ainsi il s’en va ; et quel profit a-t-il d’avoir travaillé pour le vent ? 17 Il mange aussi tous les jours de sa vie dans les ténèbres et se chagrine beaucoup, et est malade et irrité. 18 Voici ce que j’ai vu de bon et de beau c’est de manger et de boire et de jouir* du bien-être dans tout le travail dont [l’homme] se tourmente sous le soleil tous les jours de sa vie, que Dieu lui a donnés ; car c’est là sa part. 19 Et encore tout homme auquel Dieu donne de la richesse et des biens, et le pouvoir* d’en manger et d’en prendre sa part, et de se réjouir en son travail,… c’est là un don de Dieu ; 20 car il ne se souviendra pas beaucoup des jours de sa vie ; car Dieu lui a donné une réponse dans la joie de son cœur. — v. 18 litt. voir. — v. 19 litt. et qu’il a fait maître. Chapitre 6 1 Il y a un mal que j’ai vu sous le soleil, et qui est fréquent* parmi les hommes 2 il y a tel homme à qui Dieu donne de la richesse, et des biens, et de l’honneur, et il ne manque rien à son âme de tout ce qu’il désire ; et Dieu ne lui a pas donné le pouvoir d’en manger, car un étranger s’en repaît. Cela est une vanité et un mal douloureux. 3 Si un homme engendre cent [fils], et qu’il vive beaucoup d’années, et que les jours de ses années soient en grand nombre, et que son âme ne soit pas rassasiée de bien, et aussi qu’il n’ait pas de sépulture, je dis que mieux vaut un avorton que lui ; 4 car celui-ci vient dans la vanité, et il s’en va dans les ténèbres, et son nom est couvert de ténèbres ; 5 et aussi il n’a pas vu et n’a pas connu le soleil celui-ci a plus de repos que celui-là. 6 Et s’il vivait deux fois mille ans, il n’aura pas vu le bonheur tous* ne vont-ils pas en un même lieu ? — v. 1 ou grand. — v. 6 ou et qu’il ne vit pas le bonheur, — tous… ? 7 Tout le travail de l’homme est pour sa bouche, et cependant son désir n’est pas satisfait*. 8 Car quel avantage le sage a-t-il sur le sot ? Quel [avantage] a l’affligé qui sait marcher devant les vivants ? 9 Mieux vaut la vue des yeux que le mouvement du désir. Cela aussi est vanité et poursuite du vent. 10 Ce qui existe a déjà été appelé de son nom ; et on sait ce qu’est l’homme, et qu’il ne peut contester avec celui qui est plus fort que lui. 11 Car il y a beaucoup de choses qui multiplient la vanité quel avantage en a l’homme ? 12 Car qui sait ce qui est bon pour l’homme dans la vie, tous les jours de la vie de sa vanité, qu’il passe comme une ombre ? Et qui déclarera à l’homme ce qui sera après lui sous le soleil ? — v. 7 litt. son âme n’est pas remplie. Chapitre 7 1 Mieux vaut une bonne renommée que le bon parfum*, et le jour de la mort que le jour de la naissance. 2 Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que là est la fin de tout homme ; et le vivant prend cela à cœur. 3 Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cœur est rendu meilleur par la tristesse du visage. 4 Le cœur des sages est dans la maison de deuil, mais le cœur des sots, dans la maison de joie. 5 Mieux vaut écouter la répréhension du sage, que d’écouter la chanson des sots. 6 Car comme le bruit des épines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanité. — v. 1 ou bonne huile parfumée. 7 Certainement, l’oppression rend insensé le sage, et le don ruine le cœur. 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. 9 Ne te hâte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation* repose dans le sein des sots. — v. 9 ailleurs chagrin. 10 Ne dis pas Comment se fait-il que les jours précédents ont été meilleurs que ceux-ci ? car ce n’est pas par sagesse que tu t’enquiers de cela. 11 La sagesse est aussi bonne qu’un* héritage, et profitable pour ceux qui voient le soleil ; 12 car on est à l’ombre de la sagesse [comme] à l’ombre de l’argent, mais l’avantage de la connaissance, [c’est que] la sagesse fait vivre celui qui la possède. — v. 11 ou est bonne avec un. 13 Considère l’œuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu ? 14 Au jour du bien-être, jouis du* bien-être, et, au jour de l’adversité, prends garde ; car Dieu a placé l’un vis-à-vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien [de ce qui sera] après lui. — v. 14 litt. sois dans le. 15 J’ai vu tout [cela] dans les jours de ma vanité il y a tel juste qui périt par* sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge [ses jours] par* son iniquité. — v. 15 ou dans. 16 Ne sois pas juste à l’excès, et ne fais pas le sage outre mesure ; pourquoi te détruirais-tu ? 17 Ne sois pas méchant à l’excès, et ne sois pas insensé ; pourquoi mourrais-tu avant ton temps ? — 18 Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela ; car qui craint Dieu sort de tout. 19 La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville. 20 Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas péché. 21 Aussi ne mets pas ton cœur à toutes les paroles qu’on dit, afin que tu n’entendes pas ton serviteur te maudissant. 22 Car aussi ton cœur sait que bien des fois, toi aussi, tu as maudit les autres. 23 J’ai éprouvé tout cela par la sagesse ; j’ai dit Je serai sage ; mais elle était loin de moi. 24 Ce qui a été est loin et très-profond, qui le trouvera ? 25 Je me suis mis, moi et mon cœur, à connaître et à explorer et à rechercher la sagesse et l’intelligence, et à connaître que la méchanceté est sottise, et la folie, déraison* ; 26 et j’ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le cœur est [comme] des filets et des rets, [et] dont les mains sont des chaînes celui qui est agréable à Dieu lui échappera, mais celui qui pèche sera pris par elle. 27 Regarde ceci que j’ai trouvé, dit le prédicateur, [en examinant les choses] une à une pour en trouver la raison, 28 ce que mon âme cherche encore et que je n’ai pas trouvé j’ai trouvé un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvée. 29 Seulement, voici, j’ai trouvé que Dieu a fait l’homme droit ; mais eux, ils ont cherché beaucoup de raisonnements. — v. 25 ou la méchanceté de la sottise et la folie de la déraison. Chapitre 8 1 Qui est comme le sage ? et qui sait l’explication des choses ? La sagesse d’un homme illumine son visage, et l’arrogance de son visage en est changée. 2 Je [dis] Prends garde au commandement* du roi, et cela à cause du serment [fait] à Dieu. 3 Ne te presse pas de t’en aller de devant lui ; ne persévère point dans une chose mauvaise ; car tout ce qu’il lui plaît, il le fait ; 4 parce que la parole du roi est une puissance, et qui lui dira Que fais-tu ? — v. 2 litt. à la bouche 5 Celui qui garde le commandement ne connaîtra aucun mal ; et le cœur du sage connaît le temps et le jugement ; 6 car pour toute chose il y a un temps et un jugement. 7 Car la misère de l’homme abonde sur lui ; car il ne sait pas ce qui adviendra ; car comment cela arrivera, qui le lui déclarera ? 8 Il n’y a point d’homme qui ait pouvoir sur l’esprit pour emprisonner l’esprit, et il n’y a personne qui ait de la puissance sur le jour de la mort, et il n’y a point de dispense dans une telle guerre, et la méchanceté ne délivrera pas ceux qui la pratiquent. 9 J’ai vu tout cela, et j’ai appliqué mon cœur à toute œuvre qui se fait sous le soleil. Il est un temps où des hommes dominent sur des hommes pour leur mal. 10 Et de même j’ai vu des méchants enterrés et s’en allant, mais ceux qui avaient bien fait s’en allaient du lieu saint, et étaient oubliés dans la ville. Cela aussi est vanité. 11 Parce que la sentence contre les mauvaises œuvres ne s’exécute pas immédiatement, à cause de cela le cœur des fils des hommes est au dedans d’eux plein [d’envie] de faire le mal. 12 Bien que le pécheur fasse le mal cent fois et prolonge [ses jours], je sais cependant que [tout] ira bien pour ceux qui craignent Dieu, parce qu’ils craignent sa face ; 13 mais il n’y aura pas de bonheur pour le méchant, et il ne prolongera pas [ses] jours, comme l’ombre, parce qu’il ne craint pas la face de Dieu. 14 Il est encore une vanité qui a lieu sur la terre c’est qu’il y a des justes auxquels il arrive selon l’œuvre des méchants, et il y a des méchants auxquels il arrive selon l’œuvre des justes. J’ai dit que cela aussi est vanité. 15 Et j’ai loué la joie, parce qu’il n’y a rien de bon pour l’homme, sous le soleil, que de manger et de boire et de se réjouir ; et c’est ce qui lui demeurera de son travail durant les jours de sa vie que Dieu lui donne sous le soleil. 16 Lorsque j’ai appliqué mon cœur à connaître la sagesse et à regarder les choses qui se font sur la terre car il y a tel homme qui, ni jour ni nuit, ne voit le sommeil de ses yeux, 17 alors j’ai vu que tout [est] l’œuvre de Dieu, [et] que* l’homme ne peut pas trouver l’œuvre qui se fait sous le soleil bien que l’homme se travaille pour la chercher, il ne la trouve point ; et même si le sage se propose de la connaître, il ne peut la trouver. — v. 17 litt. et j’ai vu toute l’œuvre de Dieu, que. Chapitre 9 1 Car j’ai appliqué mon cœur à tout cela, et pour examiner tout cela, [savoir] que les justes et les sages, et leurs travaux, sont dans la main de Dieu l’homme ne connaît ni l’amour ni la haine. Tout est devant eux. 2 Tout arrive également à tous un même événement au juste et au méchant, au bon et au pur, et à l’impur, à celui qui sacrifie et à celui qui ne sacrifie pas ; comme l’homme de bien, ainsi le pécheur ; celui qui jure, comme celui qui craint le serment. 3 C’est un mal dans tout ce qui se fait sous le soleil, qu’un même événement arrive à tous ; et aussi le cœur des fils des hommes est plein de mal, et la folie est dans leur cœur pendant qu’ils vivent ; et après cela [ils vont] vers les morts. 4 Car pour celui qui est lié à tous les vivants il y a de l’espoir, car un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort. 5 Car les vivants savent qu’ils mourront ; mais les morts ne savent rien du tout ; et il n’y a plus pour eux de salaire, car leur mémoire est oubliée. 6 Leur amour aussi, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri, et ils n’ont plus de part, à jamais, dans tout ce qui se fait sous le soleil. 7 Va, mange ton pain avec joie, et bois ton vin d’un cœur heureux ; car Dieu a déjà tes œuvres pour agréables. 8 Qu’en tout temps tes vêtements soient blancs, et que l’huile ne manque pas sur ta tête. 9 Jouis de* la vie avec la femme que tu aimes, tous les jours de la vie de ta vanité, qui** t’a été donnée sous le soleil, tous les jours de ta vanité ; car c’est là ta part dans la vie et dans ton travail auquel tu as travaillé sous le soleil. 10 Tout ce que ta main trouve à faire, fais-le selon ton pouvoir ; car il n’y a ni œuvre, ni combinaison, ni connaissance, ni sagesse, dans le shéol, où tu vas. — v. 9* litt. Vois ; comparer 21, etc. — v. 9** c’est-à-dire la vie ; d’autres rapportent le qui à femme. 11 Je me suis tourné, et j’ai vu sous le soleil que la course n’est point aux agiles, ni la bataille aux hommes forts, ni le pain aux sages, ni les richesses aux intelligents, ni la faveur à ceux qui ont de la connaissance ; car le temps et les circonstances les atteignent tous. 12 Car aussi l’homme ne connaît pas son temps, comme les poissons qui sont pris dans le filet de malheur, et comme les oiseaux qui sont pris dans le piège comme eux, les fils des hommes sont enlacés dans un temps mauvais, lorsqu’il tombe sur eux subitement. 13 J’ai vu aussi cette sagesse sous le soleil, et elle a été grande pour moi 14 il y avait une petite ville, et peu d’hommes dedans ; et un grand roi vint contre elle, et l’investit, et bâtit contre elle de grandes terrasses ; 15 or il s’y trouva un homme pauvre [et] sage, qui délivra la ville par sa sagesse ; mais personne ne se souvint de cet homme pauvre. 16 Et j’ai dit Mieux vaut la sagesse que la force ; mais la sagesse du pauvre est méprisée, et ses paroles ne sont pas écoutées. 17 Les paroles des sages sont écoutées dans la tranquillité, plus que le cri de celui qui gouverne parmi les sots. 18 Mieux vaut la sagesse, que les instruments de guerre, et un seul pécheur détruit beaucoup de bien. Chapitre 10 1 Les mouches mortes font sentir mauvais, elles font fermenter l’huile du parfumeur ; [ainsi fait] un peu de folie, [à l’égard de] celui qui est estimé pour sa sagesse et sa gloire*. — v. 1 ou un peu de folie a plus de poids que sagesse et gloire. 2 Le cœur du sage est à sa droite, et le cœur du sot, à sa gauche ; 3 et même, quand l’insensé marche dans le chemin, le sens lui manque, et il dit à chacun qu’il est un insensé. 4 Si l’esprit du gouverneur s’élève contre toi, ne quitte pas ta place ; car la douceur apaise de grands péchés. 5 Il est un mal que j’ai vu sous le soleil, comme une erreur provenant du gouverneur 6 le manque de sens est placé dans de hautes dignités, et les riches sont assis dans une position basse. 7 J’ai vu des serviteurs sur des chevaux, et des princes marchant sur la terre comme des serviteurs. 8 Qui creuse une fosse y tombe ; et qui renverse une clôture, un serpent le mord. 9 Qui remue des pierres en sera meurtri ; qui fend du bois se met en danger. 10 Si le fer est émoussé, et que [celui qui l’emploie] n’en aiguise pas le tranchant, il aura des efforts à faire ; mais la sagesse est profitable pour amener le succès. 11 Si le serpent mord parce qu’il n’y a pas de charme, celui qui a une langue ne vaut pas mieux. 12 Les paroles de la bouche du sage sont pleines de grâce, mais les lèvres d’un sot l’engloutissent. 13 Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours* est un mauvais égarement. 14 Et l’insensé multiplie les paroles l’homme ne sait pas ce qui arrivera ; et ce qui sera après lui, qui le lui déclarera ? 15 Le travail des sots les lasse, parce qu’ils ne savent pas aller à la ville. — v. 13 litt. de sa bouche. 16 Malheur à toi, terre qui as pour roi un jeune garçon, et dont les princes mangent dès le matin ! 17 Bienheureuse toi, terre qui as pour roi le fils des nobles, et dont les princes mangent au temps convenable, pour [réparer] leurs forces, et non pour le [plaisir de] boire ! 18 À cause de la paresse, la charpente s’affaisse ; et à cause des mains lâches, la maison a des gouttières. 19 On fait un repas pour s’égayer, et le vin rend la vie joyeuse ; mais l’argent répond à tout. 20 Ne maudis pas le roi, même dans ta pensée, et ne maudis pas le riche dans la chambre où tu couches, car l’oiseau des cieux en emporterait la voix, et ce qui a des ailes en divulguerait les paroles. Chapitre 11 1 Jette ton pain sur la face des eaux, car tu le trouveras après bien des jours. 2 Donne une portion à sept, et même à huit ; car tu ne sais pas quel mal arrivera sur la terre. 3 Si les nuées sont pleines, elles verseront la pluie sur la terre ; et si un arbre tombe, vers le midi ou vers le nord, à l’endroit où l’arbre sera tombé, là il sera. 4 Celui qui observe le vent ne sèmera pas ; et celui qui regarde les nuées ne moissonnera pas. 5 Comme tu ne sais point quel est le chemin de l’esprit, [ni] comment [se forment] les os dans le ventre de celle qui est enceinte, ainsi tu ne connais pas l’œuvre de Dieu qui fait tout. 6 Le matin, sème ta semence, et, le soir, ne laisse pas reposer ta main ; car tu ne sais pas ce qui réussira, ceci ou cela, ou si tous les deux seront également bons. 7 La lumière est douce, et il est agréable pour les yeux de voir le soleil ; 8 mais si un homme vit beaucoup d’années, [et] se réjouit en toutes, qu’il se souvienne aussi des jours de ténèbres, car ils sont en grand nombre tout ce qui arrive est vanité. 9 Réjouis-toi, jeune homme, dans ta jeunesse, et que ton cœur te rende heureux aux jours de ton adolescence, et marche dans les voies de ton cœur et selon les regards de tes yeux ; mais sache que, pour toutes ces choses, Dieu t’amènera en jugement. 10 Ôte de ton cœur le chagrin, et fais passer le mal loin de ta chair ; car le jeune âge et l’aurore sont vanité. Chapitre 12 1 Et souviens-toi de ton Créateur dans les jours de ta jeunesse, avant que soient venus les jours mauvais, et avant qu’arrivent les années dont tu diras Je n’y prends point de plaisir ; 2 avant que s’obscurcissent le soleil, et la lumière, et la lune, et les étoiles, et que les nuages reviennent après la pluie ; 3 au jour où tremblent les gardiens de la maison, et où se courbent les hommes forts, et où chôment celles qui moulent, parce qu’elles sont en petit nombre, et où ceux qui regardent par les fenêtres sont obscurcis, 4 et où les deux battants de la porte se ferment sur la rue ; quand baisse le bruit de la meule, et qu’on se lève à la voix de l’oiseau, et que toutes les filles du chant faiblissent ; 5 quand aussi on craint ce qui est haut, et qu’on a peur sur le chemin, et quand l’amandier fleurit*, et que la sauterelle devient pesante, et que la câpre est sans effet** ; car l’homme s’en va dans sa demeure des siècles, et ceux qui mènent deuil parcourent les rues ; 6 — avant que le câble d’argent se détache, que le vase d’or se rompe, que le seau se brise à la source, et que la roue se casse à la citerne ; 7 et que la poussière retourne à la terre, comme elle y avait été, et que l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné. — v. 5* ou l’amande est méprisée. — v. 5** ou le désir est anéanti. 8 Vanité des vanités, dit le prédicateur ; tout est vanité ! 9 Et de plus, parce que le prédicateur était sage, il a encore enseigné la connaissance au peuple ; et il a pesé et sondé, [et] mis en ordre beaucoup de proverbes. 10 Le prédicateur s’est étudié à trouver des paroles agréables ; et ce qui a été écrit est droit, des paroles de vérité. 11 Les paroles des sages sont comme des aiguillons, et les recueils*, comme des clous enfoncés ils sont donnés par un seul pasteur. 12 Et de plus, mon fils, laisse-toi instruire par eux à faire beaucoup de livres, il n’y a point de fin, et beaucoup d’étude lasse la chair. — v. 11 selon quelques-uns ceux qui rassemblent. 13 Écoutons la fin de tout ce qui a été dit Crains Dieu, et garde ses commandements ; car c’est là le tout de l’homme, 14 car Dieu amènera toute œuvre en jugement, avec tout ce qui est caché, soit bien, soit mal.
8Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. 9 Ne te hâte pas en ton esprit de t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des insensés. 10 Ne dis pas : D’où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux ci ? Car ce n’est pas par sagesse que tu demandes cela.
Eltanin T. RosierSombralAge 37Messages 271Gallions 1630Date d'inscription 29/10/2019Feuille de personnageBaguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez PurTravail / Etudes Apothicaire Maître des PotionsMar 29 Oct - 1905Eltanin Terebellum Rosier34 ans – Sang-Pur – Jake GyllenhaalNationalité Gallois Maison SerdaigleOrientation Sexuelle DemiromantiqueSituation maritale officieusement fiancé Situation financière Aisée Travail Apothicaire Baguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez 1m86Corpulence ElancéeCheveux Brun foncés, raides, souvent plaqué en arrière, mi-longsYeux bleu cielAutres Bien que tu n’aies que peu de grains de beauté sur le visage, tes bras et ton dos en sont peuplés, t’aimes pas spécialement ça, alors quand t’en a l’occasion, tu préfères porter des manches longues. T’as eu une sœur jumelle, mais t’en parle assez rarement, voire pas du tout. T’as une cicatrice sur l’avant-bras droit, assez longue, trace de ton premier signe de magie. Si à force de persévérance et de patience, tu as fini par devenir un Legilimens, t’as eu nettement plus de mal avec l’Occlumancie, et tu n’en maîtrises que quelques bases peu fiables. Tu ne supportes pas vraiment le silence, alors il t’arrives inconsciemment de tapoter doigts sur la table, ou de taper légèrement du pied lorsqu’il n’y a pas assez de bruit ambiant à ton goût. T’as une assurance assez incroyable, que ce soit en tes gestes, tes paroles, tes idées. Quelque chose qui t’a toujours poussé à donner du meilleur de toi-même, à avancer, sans te poser trop de questions non plus. Si t’as pu faire des erreurs dans le passé, t’as essayé d’en retirer à chaque fois une leçon. Même si l’échec ne te fait pas spécialement peur, jusqu’à maintenant, rien de ce que t’as pu faire ne t’a mené à mort, t’en es bien heureux, et tu ne vois pas pourquoi tu devrais commencer à douter de assurance qui peut mener à un certain entêtement. T’aimes vraiment pas devoir admettre oralement que t’as tort, ou juste dire qu’une autre personne est meilleure que toi. Si t’as une idée en tête, il sera extrêmement difficile de te la sortir. Tu viendras même à faire preuve d’une mauvaise foi assez incroyable si on t’amène des preuves concrètes pour te démontrer tes fautes. Et revenir plus tard, ou le lendemain comme une fleur en ayant changé d’avis, et en faisant comme si tu n’avais jamais eu tort de ta vie. T’as une curiosité assez forte, voire même sans aucune limite. Elle pousserait presque à faire croire que tu as un certain déficit de l’attention. T’es capable en pleine conversation de changer de sujet à une vitesse assez incroyable, simplement parce que quelque chose d’autre à capté ton esprit, que tu t’es vraisemblablement au choix lassé de ce dont vous parliez juste avant, ou que ta curiosité t’as poussé à t’intéresser à autre chose. N’ayant aucune notion de ce qui peut être bien ou mal tu te retrouves parfois dans des situations classées éthiquement et moralement mauvaises selon la société, juste pour satisfaire ton besoin de comprendre, de toucher à tout. On ne peut clairement pas t’enlever le fait que t’as un sang-froid, une patience assez mémorable. Tu peux te retrouver dans la pire des situations, que tu continueras d’agir comme à ton habitude, sans pour autant te mettre à stresser. T’es franchement pas une personne qu’on énerve facilement. Agacer, c’est différent, mais il y a peu de chances pour que tu ne t’emportes suite à des remarques qu’on puisse te faire. Tu gardes un ton et une attitude assez posés et généralement peu agressifs. Tu n’as strictement rien contre la violence physique, ou en tout cas en voir, mais t’aimes vraiment pas te salir les mains, si t’en veux à quelqu’un, tu préfères clairement le lui faire payer par des moyens plus quelqu’un de rarement sérieux. T’estimes que t’as qu’une seule vie, et qu’il vaut mieux en profiter plutôt que de s’embourber dans des situations barbantes. Tout est sujet à l’amusement, dont les autres. A quelques détails près, tu serais capable de les considérer comme étant des bouffons présents pour te divertir. Mais il leur arrive de le faire sans même que tu ne demandes quoique ce soit, donc bon, tu ne vas pas t’en plaindre. T’aimes pas du tout te prendre la tête, sur quelque chose ou avec quelqu’un, alors les conflits et les problèmes, tu préfères nettement les prendre à la point auquel il est difficile de ne pas faire attention, c’est ton égocentrisme. Il paraît dès les premières minutes de conversations. Parce que ton sujet préféré est bien évidemment, ta petite personne. Si tu arrives à ne pas ramener un de tes nombreux faits durant plus de cinq minutes, cela tient presque du miracle. Tu ne te prends pas pour n’importe qui, en fait. T’es totalement persuadé d’être l’une de ses personnes méritant être au-dessus des autres, et ce pour plusieurs raisons d’ on s’adresse à toi, il vaut mieux ne pas tout prendre au premier degré. L’humour noir et l’ironie, ce n’est vraiment pas ça qui te manque dans la vie, t’en a à revendre, en fait. Et peu importe ton interlocuteur, qu’il s’agisse d’un de tes supérieurs ou non, t’en feras preuve, quand bon te semble. Tu ne vois pas vraiment l’intérêt de t’en priver, ni même pourquoi tu devrais te freiner d’une manière ou d’une plus, t’adores parler. Tu pourrais passer des journées entières à le faire, si ton corps te le permettait. Et ce, de tout et de rien. Même si très clairement, ton sujet préféré sont les divers ragots et commérages que tu peux trouver. Pas spécialement pour les utiliser par la suite contre les personnes en question. Mais c’est distrayant et généralement assez amusant, aussi. Tout autant que ceux qui peuvent te concerner. T’aimes laisser planer le doute, et juste savoir ce qu’on peut bien penser de toi, que ce soit positif ou n’est généralement pas difficile de devenir de quelle humeur tu es. Il faut dire que ton visage est un peu comme un livre ouvert. T’es expressif, presque excessivement. Que ce soit tes yeux, tes sourcils, ta bouche, tes mains, tes paroles sont bien souvent suivies de mouvements les appuyant. Bien que le ton de ta voix pourrait bien souvent suffire. Surtout que t’es loin d’être discret lorsque tu parles. T’hurles pas non plus, mais si t’as quelque chose à dire, et envie d’être entendu, t’hésites pas à parler par-dessus les ne t’ennuies presque jamais, t’arrives à t’occuper avec un rien, et qui plus est, ton cerveau ne se retrouve que très rarement totalement au repos. T’as toujours des milliers d’idées, pas spécialement bonnes, qui te passent par la tête et t’as qu’une envie, c’est de toutes les accomplir. C’est par un après-midi pluvieux d’automne que la famille Rosier s’est agrandie non pas d’un, mais de deux nouveaux-venus. Ta sœur, Misam, et toi-même, Eltanin, deux noms d’étoiles, comme dans les anciennes traditions de votre famille, auxquelles vos parents tenaient énormément. Ta sœur étant née quelques secondes avant toi, elle a été considérée comme ton aînée, bien que l’on parlât généralement de vous deux comme étant des jumeaux. Vous avez reçu la même éducation, aucun favoritisme d’un côté ou de l’autre, vous étiez totalement logés à la même enseigne. Qui soi dit en passant était plus qu’agréable, vous n’aviez aucun problème financier, et votre mère avait une certaine tendance à céder à vos caprices lorsque votre père avait le dos tourné. Cependant, vous aviez des caractères assez différents. Alors que t’aimais te démarquer, prendre les devants lorsque t’en avait l’occasion, Misam était plus renfermée, plus taciturne. Elle avait aussi un peu plus de mal à aller vers les autres, et t’avais décidé par toi-même de l’aider, de l’entraîner le plus souvent possible avec toi, peu importait ce que tu pouvais faire. Tu te disais que de toute manière ça ne pouvait qu’être mieux que de la laisser seule dans son coin , dans votre maison. Elle ne semblait pas toujours à l’aise, mais t’avais un peu pris l’habitude de la voir réagir de cette manière, alors tu n’y faisais plus spécialement attention. Vos parents étant tous deux des sorciers, vous aviez passés des nuits dans votre chambre à parler, rêver, de ce que pourrait bien être votre premier signe de magie. Signe qui se faisait franchement tarder que ce sont de ton côté ou du sien. Ce n’est que l’année de tes six ans qu’il daigna se montrer, sans doute pas de la meilleure des manières. Par ennui et curiosité, t’étais allé dans la cuisine alors que cela t’était formellement interdit par ton paternel. Pas du tout un endroit pour vous, qui était presque entièrement réservé à l’elfe de maison de la famille. Mais il t’arrivait d’y faire un tour, surtout que ce soir-là, tes parents recevaient tes amis, ce qui signifiait que forcément, il y aurait un dessert. Et vu que personne n’avait daigné te dire ce que c’était, t’étais allé voir par toi-même. T’avais été assez déçu en remarquant qu’il s’agissait d’une espèce de pièce montée aux fruits rouges, alors que tout ce dont tu avais envie, c’était de quelque chose de commencé à te plaindre, en espérant que cet elfe qui n’était absolument pas sous tes ordres, mais plutôt sous ceux de tes aînés, ne change d’avis et ne cède à ton caprice. Ce qu’il ne fit absolument pas, alors t’avais continué de te plaindre et de t’énerver tout seul, jusqu’à faire une véritable crise de larmes digne d’un enfant de deux ans, mais t’avais clairement mis ta dignité de côté. Tu ne supportais pas qu’on puisse te tenir tête. Et à force de t’énerver, les tiroirs ce sont ouverts sans raison, quelques couteaux en sont sortis, avant d’aller se planter dans les divers murs de la pièce. Nettement plus de peur que de mal, personne n’en était mort, fort heureusement, même si l’oreille de l’elfe de maison en avait pris un coup, et surtout ton bras droit. T’avais été mitigé assez fortement entre la joie, comprenant qu’il s’agissait de ta magie qui se manifestait enfin, et encore des pleurs, vu que tu ne t’étais jamais réellement fait mal et que tu étais certain qu’il allait maintenant falloir d’amputer le bras et que tu ne pourrais plus jamais l’utiliser. Totalement faux, après quelques heures, tout était redevenu dans l’ordre, t’avais plus qu’une cicatrice, que tu portes encore aujourd’hui. Et tout le monde était heureux et soulagés, hormis peut-être Misam qui semblait encore un peu plus stressée que d’ tout un temps, tes parents, toi aussi d’ailleurs, ont cru qu’il s’agissait d’une cracmol, mais le jour de vos neuf ans, elle fit totalement fondre les bougies qui se trouvaient sur la tarte qu’on vous avait préparée. Visiblement un très gros problème avec les desserts dans votre famille, mais soit. T’étais content pour elle, même si ça ne t’aurait absolument pas dérangé de commencer à faire tes études sans elle à Poudlard. Un grand moment, ça aussi. Surtout lors de vos achats au Chemin de Traverse. Vous aviez pu choisir un animal, t’avais opté pour un chat, un persan chinchilla qui t’avait directement tapé dans l’œil. Ta sœur avait voulu aussi prendre un félin, mais il s’était vite avéré, même dans le magasin, que celui que tu avais choisi ne supportait absolument pas la présence des autres et tentait d’être agressif avec eux. Vous aviez deux choix, soit tu optais pour un autre, soit Misam pouvait prendre un autre animal, en espérant qu’il s’entendrait avec lui. Il n’avait pas fallu longtemps pour que la deuxième option soit adoptée. Tu n’avais aucune envie de détruire les quelques rêves que t’avais pu faire avec cette boule de poil blanche en une poignée de seconde non plus. Puis elle avait eu droit à un beau grand-duc aussi. Bien que tu le trouvais un peu ridicule, mais t’avais évité de le dire à voix arrivé le jour tant attendu de votre rentrée. Tu ne tenais clairement plus en place, alors que Misam traînait un peu des pieds. Tu savais qu’elle avait un peu peur de devoir quitter la maison, l’espèce de cocon que vous aviez avec vos parents, t’avais essayé de la rassurer en lui disant que de toute manière vous seriez ensemble, que ce serait beaucoup trop bien si vous vous retrouviez dans la même maison. T’avais sûrement dû lui dire que tu ne la lâcherais pas d’une semelle si ça pouvait lui faire plaisir. Que vous vivriez cette expérience ensemble, et qu’il n’y avait rien à craindre. Et une fois sur place, elle semblait s’être calmée, toute aussi fascinée que toi par les été le premier à passer sous le Choixpeau. Les secondes les plus longues de ta vie, sans aucun doute. Les plus excitantes que t’aies pu vivre jusqu’à tes onze ans, aussi. Il avait mis un peu de temps avant de se décider à t’envoyer chez les Bleu et Bronze. Ce qui te convenait parfaitement, t’étais déjà assez optimiste, et t’aurais réussi à trouver du bon peu importe où t’aurais atterri. Un peu moins l’avis de tes parents d’ailleurs, mais ce n’était pas comme si tu pouvais y changer quoique ce soit. Misam fut la suivante. A ta surprise, elle fut envoyée dans la même Maison que la tienne, et ça t’arrangeait, tu te serais senti un peu mal de lui avoir dit quelques heures auparavant que vous n’alliez plus vous quitter, si vous ne partagiez même pas les mêmes salles communes. T’as pas tardé à te faire un groupe d’amis, faut dire que t’as jamais été très difficile, et que t’es facilement repérable, autant que mémorable. Puis lors de ta troisième année, ton cousin, Tomos vous avait rejoint chez les bleu et bronze. Tu l’avais toujours apprécié, tu le considérais même plus que comme un frère, alors pouvoir passer encore plus de temps avec lui, t’étais beaucoup trop heureux. Tu vivais tranquillement ta vie, et franchement d’un point de vue externe, tu te fondais dans la masse. T’excellais qu’en Potions et Divination, le reste était plutôt assez moyen, voire même médiocre lorsqu’il s’agissait de la Métamorphose. A un tel point que lorsque vous deviez travailler en binôme, t’avais du mal à en trouver un, et tu finissais généralement par te retrouver avec Misam. Tu passais pas mal de temps avec elle, tu continuais de l’inclure lorsque vous faisiez des sorties à Pré-au-Lard, ou même des sorties après le couvre-feu, qui à quelques reprises se conclurent en retenues. Puis durant votre cinquième année, presqu’à la fin, il y avait eu ce pote, qui était venu te voir pour t’avouer que ta sœur l’attirait, mais qu’il n’osait pas vraiment l’aborder. T’avais pas trop su comment le prendre, au début. T’avais toujours un peu ce côté, à vouloir protéger Misam de tout. Mais qu’est-ce qui pourrait mal se passer, ce mec tu le connaissais depuis au moins trois ans, vous vous entendiez plus que bien. Alors t’avais été voir ta sœur, commençant à presque lui vendre votre homologue, du mieux que tu le pouvais. Tu te rappelles lui avoir dit qu’elle était chanceuse, que c’était vraiment quelqu’un de bien. Tu ne sais même plus combien de temps ça a duré, votre conversation, mais ce fut assez long. Long mais payant. Quelques jours plus tard tu les avais vu ensemble, et t’étais carrément content pour eux. Tu n’avais pas voulu t’immiscer plus que ça, surtout que vos arrivaient. Un grand moment. Surtout lorsque deux semaines avant le début des épreuves, tu t’étais rendu compte que certaines de tes notes étaient incomplètes. Tu t’étais dit que t’irais au talent, ça avait toujours fonctionné. Puis tu t’es rendu compte après ton premier examen, celui d’Histoire de la Magie, ça n’allait clairement pas suffire. Est-ce que t’avais passé tout le restant de la journée à paniquer et à agresser verbalement chaque personne t’adressant la parole ? Carrément. Toutes sauf une. Misam était arrivée, avec ses notes pour te les passer. Elle avait toujours été plus organisée que toi, et elle avait fini d’étudier pour la journée. Pour pratiquement toute la session même, elle t’avait dit. T’aurais jamais pu la remercier à sa juste valeur, elle t’avait carrément sauvé d’un redoublage. T’avais aussi de la chance d’avoir une bonne mémoire, même si t’avais dû sacrifier quelques heures de sommeil, t’avais trouvé un bon créneau, pour ne pas commencer à mourir sur tes parchemins les jours suivants. Et t’étais totalement été insupportable, jusqu’aux résultats. Surtout que vos parents avaient prévus un voyage en France quelques semaines après, vous aviez de la famille du côté de ta mère installée par-là, et tu n’avais aucune envie que ce soit gâché par une ou plusieurs notes particulièrement nulles, même si tu savais déjà que t’avais raté un cours. Tu te souviens tellement bien du jour où les hiboux sont arrivés. T’étais seul dans le salon, accoudé à la fenêtre, prêt à réagir au premier mouvement un tant soi peu suspect. Tes parents travaillaient et Misam était dans votre chambre, en train de préparer sa valise, elle devait passer quelques jours avec son copain et sa famille tu ne savais où. Quand les volatiles étaient arrivés, t’avais eu du mal à ne pas leur arracher l’enveloppe des mains. D’ailleurs sur le coup, tu n’avais pas compris, mais le hibou détenant la lettre de ta sœur restait résolument devant toi, en te tendant la patte, alors que tu lui avais dit qu’elle était en haut. T’en avais déduit qu’il était juste débile hein. Et t’avais aussi pris sa lettre au passage. T’avais ouverte la tienne en appelant ta sœur presque assez fort pour que tout le village ne soit au courant, mais t’avais pas entendu de réponse. T’étais sans doute trop absorbé par la lecture de tes notes. Etonnement, t’avais réussi à avoir non pas deux O, mais trois, en plus de tes matières de prédilections, t’avais réussi à en dégoter un en Botanique. Le reste était un doux mélange de E et de A, sauf pour l’Histoire de la Magie. Un beau P y trônait. Mais t’allais plutôt l’ l’enveloppe de Misam t’avait intriguée. Elle était plus lourde. Et ta curiosité t’avait poussé en deux secondes à l’ouvrir à son tour. Le poids vu vite expliqué par l’insigne de préfet qui s’y trouvait. T’avais beau eu te dire d’être heureux pour elle, t’en avais juste retiré une certaine jalousie. Une certaine envie aussi. Pourquoi elle particulièrement, et pas toi ? Voir même, vous deux ? T’avais songé un instant le garder pour toi, mais c’était ridicule, la direction devait avoir des papiers prouvant que c’était à elle. T’avais aussi regardé son relevé de notes. Lui par contre, était un peu moins bien que le tiens. Un soulagement, même une certaine fierté, vu que tu t’y étais pris au dernier moment contrairement à elle. Et comme elle ne venait pas, t’avais décidé d’aller directement la trouver, avec presque la ferme intention de te vanter de tes notes, tout en essayant de minimiser ce que le poste de préfet pouvait lui apporter. Sauf que Misam, elle n’a jamais su tout court qu’elle était nommée n’a jamais su qu’elle avait réussi absolument tous ses était bien dans votre chambre, le corps inerte, retenu par une corde accrochée à une des poutres. Le sourire que t’avais s’était figé, l’information avait mis du temps à monter. T’avais quand même fini par percuter, après une poignée de secondes. T’avais tellement pas su quoi faire, à part l’appeler, en espérant qu’elle pourrait te répondre. L’idée de la détacher t’étais passé par la tête, mais quelque chose t’empêchait très clairement de l’approcher. De la peur ? Sans doute. Jusque là, t’avais jamais eu aucune expérience avec la mort. Mais t’avais eu la présence d’esprit de prendre son hibou, pour pouvoir écrire une lettre à tes parents, en espérant qu’ils la lisent assez rapidement. Et t’étais tombé aussi sur un cahier qui t’étais étrangement familier. Normal, t’avais eu exactement le même à ton entrée à Poudlard, d’une couleur différente cependant. C’était son journal intime, chacun étant protégé par un certain sort d’invisibilité. Sauf que tu voyais clairement quelque chose d’écrit. Sans doute que le sort s’était brisé avec sa mort. Tu t’étais dit que t’y trouverais peut-être des réponses, de toute manière t’avais jamais eu autant de mal à réfléchir qu’à cet instant, de toute ta vie. Tu ne savais plus trop ce que tu faisais, et une fois le hibou parti, t’étais de nouveau allé te réfugier dans le salon, à la différence que tu t’étais installé presque prostré dans un des fauteuils, gardant un coussin près de toi, et ce journal. T’étais trop paniqué pour pleurer, et même pour faire quoique ce soit d’autre que de lire ce que t’avais en main. T’aurais jamais dû faire ça, pour ton propre bien. T’aurais jamais dû faire ça, pour respecter son intimité, sa réponses, t’en a eues. Pas vraiment celles que t’aurais espérées. T’avais mis un temps à le lire, plusieurs jours même, lorsque tes parents étaient revenus, t’avais juste eu le réflexe de le garder sur toi, le leur cachant délibérément. Tu t’étais dit qu’une fois que t’aurais fini de le lire, tu prétendrais l’avoir retrouvé par hasard. Au final, tu ne le leur a jamais montré, encore aujourd’hui il est dans tes affaires, au milieu d’une multitude de bouquins traitants de sujets tout aussi divers les uns que les autres. Tu sais très bien qu’il est là, mais comment t’aurais pu le leur donner de ton plein elle n’avait jamais voulu spécialement se retrouver à Serdaigle, elle l’avait simplement demandé, par peur d’être séparée de toi, par peur que tu ne sois déçu si elle se trouvait autre part. A plusieurs reprises elle avait remis en cause ce choix, se rendant de plus en plus compte au fil des années que ce n’était pas du tout une Maison qui lui convenait, dans les idéaux qu’elle visait, les personnes qui y étaient. Elle était certaine que si elle était allée dans une autre, elle aurait pu nettement plus évoluer, se décomplexer, plutôt que de rester dans ton ombre la plupart du groupe d’amis ? ce n’était pas qu’elle ne le supportait pas, mais elle n’avait aucun atome crochu avec eux. Elle avait réussi à en avoir d’autres, à côté, mais n’osant jamais décliner les propositions de sorties que tu pouvais lui faire, elle avait fini malgré elle par les délaisser. Ta médiocrité en Métamorphose ? Elle l’avait sans doute nettement plus subie que toi, s’était retrouvé par moment avec des malformations temporaires desquelles t’avais toujours ri, après tout, ça partait au bout de quelques heures. Mais si t’en riait de bon cœur, ce n’était pas vraiment le cas de tout le monde. Les remarques, les regards, elle les avait tous notés, en espérant que ça passerait mieux si elle s’exprimait par écrit. Mais plus les jours passaient, plus son style changeait, plus morne, plus sombre. Elle se remettait en doute, tout le heures de colles, tu les avais aussi prises à la légère, te disant que ça faisait partie d’une scolarité normale, tant que vous n’en aviez pas constamment. Vos parents vous avaient fait aussi quelques remarques, auxquelles t’avais simplement acquiescé, promettant un peu trop légèrement que tu ne recommencerais plus. C’était tout autre chose pour ta sœur, même si elle en avait eue moins que toi, chaque paragraphe suivant une de ses retenues semblait être un concentré de manque de confiance en soi, de remise en question, elle venait à se demander ce qu’elle faisait là, pourquoi elle n’arrivait pas à passer au-dessus comme tu pouvais le faire. A se dire qu’elle n’était qu’un boulet pour toi, que tout irait mieux si elle t’étais dit que ça ne pourrait qu’aller mieux une fois qu’elle se serait retrouvée avec son copain. Et même si ça n’avait pas spécialement duré, il te restait un nombre assez important de pages. T’étais vraiment trop naïf, et trop con. Bien évidemment, il y avait eu vos examens. Elle avait passé un bon moment à s’inquiéter pour toi, ton état en revenant de la première épreuve. Elle avait décidé de passer absolument tout son temps libre à compléter le plus possible ses notes en se renseignant à la bibliothèque, et auprès de plusieurs enseignants. Si t’avais sacrifié quelques heures de sommeil pour étudier, elle avait passé de nuits blanches sur ces cours qu’elle te donnait, qu’elle n’avait même pas le temps de relire pour elle-même. Elle se disait qu’elle avait de toute façon déjà commencé ses révisions, et que réécrire tous les renseignements l’aiderait aussi. Sauf qu’elle finissait par s’endormir n’importe où, n’importe quand, ne pensait même plus à manger, trop obnubilée par t’aider dans ta à sa relation. Elle n’en avait jamais voulu, du tout. Elle l’avait accepté uniquement pour te faire plaisir, par peur une nouvelle fois de descendre dans ton estime. Puis tu lui avais assuré que c’était quelqu’un de bien. Et qu’elle était chanceuse. Si t’avais su. Il la forçait la plupart du temps à faire des choses qu’elle ne voulait pas faire, c’était toujours de pire en pire, mais t’avais tellement l’air heureux quand tu les voyais ensemble qu’elle voulait encore moins te décevoir. Elle était totalement perdue, pire que ça, elle cherchait de l’aide, mais elle en savait pas où en demander, ni même à qui. Et ces quelques jours qu’elle allait devoir passer en compagnie de son copain, elle les craignait plus que tout. Et elle en était arrivé à un stade où elle avait pris la décision de tout arrêter, d’arrêter de vivre, d’être un poids pour tout le monde, même pour elle-même. Dire qu’elle se haïssait était un euphémisme. Et t’avais bien dû te rendre à l’évidence que tout ce que t’avais fait pour Misam, s’était l’enfoncer. L’enfoncer et passer à côté de son désespoir. Ne pas lui tendre la bonne main. Ca t’avait fait beaucoup réfléchir sur toi-même. Bien la seule et unique fois où t’as daigné le faire. T’essayais de comprendre comment t’aurais pu l’aider, avant de te rendre à l’évidence que tu ne saurais rien changer. Tu t’en voulais énormément, comment t’aurais pu ne pas le faire. Et les mois qui suivirent furent les pires de ta vie. Tu la cherchais inconsciemment, tu te cherchais aussi, certain d’avoir raté quelque chose, certain que si c’était arrivé, c’était par ta faute, qu’il fallait que tu trouves ce qui clochait en toi. Tu ne comptais plus le nombre de nuits où tu te réveillais, persuadé de l’avoir entendue, ou sentie. Même après qu’on t’ait fait changer de chambre, ne supportant plus du tout l’ancienne. Vous aviez quand même tenu ce voyage en France, qui n’avait plus autant de valeur à tes yeux qu’avant. Et l’ambiance qui régnait dans votre famille sonnait totalement faux. Tu l’avais un peu fuie d’ailleurs, le plus possible, essayant de te changer les idées en rencontrant d’autres personnes. Pas uniquement tes cousins, mais aussi leurs amis qui avaient plus ou moins ton âge. Tu cherchais clairement à combler le vide qu’avait laissé Misam, et ce de n’importe quelle manière. Franchement, commencer à fumer ne t’a rien apporté, si ce n’est une endurance un peu déplorable à ce jour, surtout au niveau de la respiration. Mais une fille avait attiré ton attention. Ce n’était pas que t’avais pas osé l’aborder, mais t’avais un blocage. Peut-être que pour elle aussi, tu passerais à côté de quelque chose, que tu lui ferais plus de mal qu’autre chose. Sauf que c’était elle qui s’était rapproché petit à petit de toi. Qui avait clairement remarqué que tes sourires étaient un peu trop prononcés pour paraître vrai, que durant tes quelques moments d’absence, tu pouvais avoir un air on ne peut plus maussade. Elle était patiente, douce, protectrice aussi, même si elle savait ce qu’elle voulait et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle avait été la première à te faire rire franchement depuis la disparition de Misam. Tu t’étais très rapidement attaché à elle, et c’était totalement réciproque. Vous vous étiez mis ensemble rapidement, peut-être un peu trop. Mais t’en avais besoin de cette attention, de cette affection. Comme t’avais besoin d’en donner. Vous passiez la quasi-totalité de votre temps ensemble. Un soir, t’étais prêt à aller plus loin, mais tu l’avais sentie légèrement réticente, alors t’avais directement arrêté, et elle t’avait parlé. Elle avait aussi quelque chose sur le cœur, qui la taraudait depuis un petit temps. Quelque chose qu’elle n’avait jamais osé te dire, qu’elle essayait de cacher le plus possible. Elle avait mis du temps à mettre les mots, à se décider à te dire qu’elle était un magnifique, le premier amour, on est prêt à tout accepter, tout pardonner. Mêlé à l’insouciance de la jeunesse. Certes, tu ne t’y attendais pas, t’avais essayé de ne pas laisser transparaître ta surprise pour pas qu’elle ne le prenne mal. Surtout qu’à l’époque, t’étais clairement certain qu’il s’agissait de la femme de ta vie. Tu lui avais dit que ce n’était pas grave, que ça ne changeait rien pour toi. Ce qui était en partie vrai, tu l’aimais tellement qu’à l’époque, t’aurais été prêt à faire tous les sacrifices possibles et inimaginables. Peut-être pour essayer de te racheter inconsciemment auprès de Misam, certes. Sauf qu’il fallait bien que tu rentres en Angleterre, à la fin des vacances. Tu lui avais promis de lui écrire au plus vite, t’avais même déjà demandé à tes parents de pouvoir passer une semaine ici durant les vacances de Noël. T’as tenu ta promesse, tu lui as écrit. Si au début t’avais des réponses assez rapides. Puis un jour, le néant. Total. Tu ne savais pas ce que tu avais pu dire ou faire. Mais c’était comme si elle avait disparue. T’as aussi essayé d’écrire à ses parents, tout ce que tu avais compris, c’était qu’ils étaient en pas eu envie d’abandonner, t’essayer de temps en temps de la recontacter. Et avec tout ça, le début de ta sixième année avait été une véritable catastrophe. Une chute libre dans la totalité de tes matières, en même temps tu ne trouvais même plus la foi de faire tes devoirs, dès que tu finissais les cours, t’allais directement dans ton dortoir, et t’y restais jusqu’au lendemain matin. T’avais du mal même à parler encore à tes proches, parce que t’avais peur de tout empirer. Jusqu’au jour où t’avais failli mettre fin à tes jours. Qu’heureusement Tomos était arrivé à temps pour te soigner d’ailleurs. Tu lui dois tellement de choses, t’en aurais presque honte. Chaque jour tu remercies la personne qui la pu le mettre sur ton prêt aussi, à tout abandonner. Mais tes enseignants, ou en tout cas ton directeur de maison n’avait pas du tout eu l’air d’être du même avis. Il t’avait convoqué, avec tes parents pour en parler. Pas la meilleure de ses idées, très clairement. Vous aviez juste fini par vous énerver. Et en ressortant t’étais même plus spécialement triste, mais rancunier, t’en voulais à tout le monde, pour le moindre problème. T’avais été violent inutilement à plusieurs reprises, t’avais de nouveau été convoqué, mais seul cette fois-ci. Il t’avait bien fait comprendre que si tu ne changeais pas d’attitude, tu allais droit dans le mur. Que soit tu allais rater ton année, soit tu risquais d’être renvoyé temporairement si tu continuais de t’attirer autant d’ennuis. Il t’a fait réfléchir sur toi-même, essayant de t’aider, même si tous ses conseils n’étaient pas franchement utiles. Vous vous voyiez régulièrement, et petit à petit, il t’avait aidé à aller mieux, à utiliser cette espèce de colère correctement. Elle n’était plus restée très longtemps. Parce que t’avais pris une décision. Celle de d’abord penser à toi. A ton avenir. Te prendre en main. Recommencer à zéro, ou presque. T’en avais marre de te lamenter, de passer des heures à te poser des questions. Tu voulais changer et t’allais changer. L’altruisme que t’avais essayé d’avoir n’avait pas fonctionné ? T’allais plutôt pencher pour l’égoïsme, qui était mieux placé que toi-même pour savoir ce qui te ferait plaisir, ce qu’il te fallait ? T’as enlevé tout ce qui pouvait être négatif dans ta vie. Absolument tout. T’as décidé de tout prendre assez légèrement. De profiter aussi du fait que t’aies délibérément des facilités en Potions, et qu’en plus ça te ne t’es plus jamais rien refusé. Ni à toi, ni à ta curiosité d’ailleurs. T’avais commencé à t’intéresser à toutes les sortes de magies. La noire plus particulièrement. Simplement parce qu’on ne vous en parlait que très rarement, qu’on vous l’interdisait à l’école, et que t’estimais que désormais le seul à pouvoir te donner des règles, c’était toi-même, en fait. Surtout que tu ne faisais rien de mal, tu te renseignais. C’était assez difficile à expliquer, mais tu t’en sentais plus proche, t’avais toujours envie d’en savoir plus, aussi. Ce qui ne t’a pas empêché de te concentrer sur tes études. De te recentrer. T’avais une idée bien en tête. Tu voulais suivre une formation bien particulière, celle de Maîtres des Potions. Une matière qui ne cessait aussi de te fasciner et avec laquelle il était impossible de s’ennuyer ou de tomber dans une certaine routine. Tout ce qu’il te fallait. Tu savais qu’il s’agissait d’études assez longues, mais t’étais clairement motivé pour. Enfin rien de mal. T’avais commencé à comprendre que Tomos, tu ressentais un peu plus de choses pour lui qu’un simple lien familial. Ou même amical. Y avait ce jour où vous aviez un peu trop bu, une des premières fois d’ailleurs où tu le faisais. Et tu l’avais embrassé. Il ne s’était pas retiré, il n’avait rien tenté même, il y avait répondu, mais vous l’aviez gardé secret. T’avais eu peur d’en reparler, et de casser cette amitié si spéciale que vous même d’entrer à l’université, t’avais choisi ta spécialisation ; les remèdes. Non pas pour avoir la satisfaction de sauver des vies, des gens. Parce que ce qui t’intéressait le plus étaient les poisons, et les plantes qui pouvaient causer un empoisonnement. Voir l’effet qu’ils pouvaient avoir sur le corps humain. Et aussi, la satisfaction de pouvoir se dire que t’étais plus fort que ça. Ta scolarité s’était finie assez tranquillement, bien que t’aies commencé à développer une certaine haine, ou en tout cas mépris envers les gens qui n’étaient pas du même rang que le tiens. Grâce à ça, ça t’évitait de t’attacher à pas mal de monde déjà, et t’étais persuadé de te protéger, au moins un minimum. Tes études supérieures ne furent pas spécialement une partie de plaisir. Si t’étais motivé, que t’avais totalement les capacités, tu n’aimais pas spécialement devoir apprendre sous la direction d’une personne, qui te disait constamment quoi faire. Qui te mettait des limites aussi, se permettant de te dire que telle ou telle chose était peut-être trop difficile ou dangereuse pour toi. T’étais bien forcé de l’écouter, si tu voulais réussir, mais rien ne t’empêchait côté de tes cours de continuer de te renseigner sur tout et n’importe quoi. T’essayais de te dire que plus tu avancerais, plus ce serait intéressant. Et t’avais pas spécialement tort. Du tout. Les deux premières années avaient été spécialement longues, mais les trois autres, t’avais eu un peu plus de liberté. Le summum avait été les deux dernières, que tu devais passer à l’étranger. Où tu devais changer de chaperon aussi, afin de tester tes connaissances et les remettre en question. Ca ressemblait nettement plus à un challenge que t’avais relevé haut la main. Ton diplôme en poche, t’étais retourné en Angleterre, et t’avais pris une année sabbatique. T’avais pas eu envie de te lancer directement dans la vie active, tu t’étais posé, tranquillement, en profitant pour te poser un peu, regarder aussi toutes les possibilités qui pouvaient s’offrir à toi. Et parfaire tes connaissances en Magie Noire, maintenant que tu n’avais plus personne pour t’en empêcher. Au début c’était un peu comme une fascination morbide. Puis ça ne s’est tenu qu’à la fascination. T’étais bien conscient que tu ne pouvais délibérément pas en parler librement à n’importe qui. Mais tu l’utilisais. Mais ça t’allait. Totalement. Il a bien fallu que tu finisses aussi par te bouger, et trouver un travail. T’as même un peu galéré, parce que certes, il y avait des postes à Sainte-Mangouste, mais ce n’était pas assez bien pour toi. Qu’est-ce qui était assez bien pour toi, même. Après quelques refus à gauche et à droite, t’as bien dû mettre ta dignité de côté, et te rabattre sur l’hôpital. Vu ton parcours, t’avais pu devenir guérisseur, au service d’empoisonnement, autant par les potions que par les plantes. T’étais plutôt doué, même pour le côté relationnel. De base, t’aimes pas les gens, et pourtant, ça ne t’empêche pas de parler énormément, de faire connaissance sans pour autant t’y attacher. Ca fait même maintenant neuf ans, que tu travailles à Sainte-Mangouste, que tu t’ennuierais presque comme un rat mort. Heureusement qu’il y a encore le bouche à oreille. Mais t’aimerais trouver quelque chose qui casserait totalement ta routine. Quelque chose qui puisse pimenter ta vie, y redonner un peu plus de couleurs. T’es fatigué de te lever, d’accomplir presque toujours les mêmes gestes, de passer tes soirées hors de ton appartement, dans l’espoir de faire une rencontre intéressante, qui pourrait venir te sortir de pas de te dire que tu pourrais te rendre plus utile que ça et que tu pourrais accomplir plus de choses sur un plan personnel. Que tes envies de grandeur, de pouvoir ne doivent pas être si difficiles à assouvir. Bien évidemment, une idée te passe de plus en plus en tête ces derniers temps. Un groupe qui est en train de monter en puissance, les Sombrals. Ils ne font pas que t’intriguer, ils t’attirent. Et t’as eu de la chance, d’en connaître celle qui est à la tête, qui fait en quelque sorte partie de ta famille. Qui a pu t’y faire entrer. Tu ne la remercieras jamais assez non plus de t’avoir offert la possibilité d’y entrer. Mais en fait, ta vie prend un tournant que t’aurais jamais imaginé. T’as réussi à parler à ton cousin, après une soirée mouvementée. Vous vous êtes même mis ensemble, chose que tu n’aurais jamais cru possible. Tout ça, ça t’a donné le courage d’enfin prendre correctement ta vie en main, et de quitter ton travail, de le quitter et d’ouvrir ta propre apothicairerie. Tu sais pas trop ce que ça donnera, mais bon, t’as plutôt 30 Oct - 1118Tu me manquais déjà dis Fiche toujours aussi incroyable, je sais pas pourquoi ça aurait subitement changé hein, bien hâte de reprendre tous nos petits rps parce que ça va être rigolo hihihijesaispluscequejedis BREF Rebienvenue et bonne validation awful
Ecclésiaste7:8 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. Read verse in Ostervald (French) Ecclésiaste 7:8 - OST Bible - Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement Bible Study Tools JOIN PLUS PLUS Login. Bible Bible Versions Verse of the Day Verses by Topic Reading Plans Parallel Bible
Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC Ecclésiaste calomnie trouble le sage, et elle abattra la fermeté de son Martin - 1744 - MAREcclésiaste vaut la fin d’une chose, que son commencement. Mieux vaut l’homme qui est d’un esprit patient, que l’homme qui est d’un esprit - 1811 - OSTEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament Samuel Cahen - 1831 - CAHEcclésiaste fin d’une chose vaut mieux que son commencement, l’humeur patiente est meilleure que l’humeur Évangiles de Félicité Robert de Lamennais - 1846 - LAMEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Perret-Gentil et Rilliet - 1869 - PGREcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut patience que présomption. –Bible de Lausanne - 1872 - LAUEcclésiaste vaut l’issue d’une chose que son commencement. Mieux vaut l’esprit patient que l’esprit Testament Oltramare - 1874 - OLTEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !John Nelson Darby - 1885 - DBYEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament Stapfer - 1889 - STAEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible Annotée - 1899 - BANEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement, et mieux vaut l’esprit patient que l’esprit testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAKEcclésiaste fin d’une entreprise est préférable à son début ; un caractère endurant l’emporte sur un caractère et Vigouroux - 1902 - VIGEcclésiaste vaut la fin d’un discours que le commencement. Mieux vaut l’homme patient que l’ Louis Claude Fillion - 1904 - FILEcclésiaste calomnie trouble le sage, et elle abat la force de son Segond - 1910 - LSGEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYNEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible Augustin Crampon - 1923 - CRAEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Pirot-Clamer - 1949 - BPCEcclésiaste la fin d’une chose que son commencement, - mieux vaut la patience que la de Jérusalem - 1973 - JEREcclésiaste vaut la fin d’une chose que son début, mieux vaut la patience que la Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRIEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Segond Nouvelle Édition de Genève - 1979 - NEGEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit André Chouraqui - 1985 - CHUEcclésiaste vaut l’avenir d’une parole que son en-tête. Mieux vaut longueur de souffle que hauteur de Évangiles de Sœur Jeanne d’Arc - 1990 - JDCEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Les Évangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TREEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible des Peuples - 1998 - BDPEcclésiaste à bien une entreprise vaut mieux que la commencer c’est la persévérance qui compte, et non la 21 - 2007 - S21Ecclésiaste vaut l’aboutissement d’une affaire que son début. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit James en Français - 2016 - KJFEcclésiaste vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Septante - 270 avant Jésus-Christ - LXXEcclésiaste ἐχάη λγν ὑπὲρ ἀρχὴν αὐοῦ ἀγαθὸν μακρθυμο ὑπὲρ ὑψηλὸν Vulgate - 1454 - VULEcclésiaste est finis orationis quam principium melior est patiens arroganteAncien testament hébreu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHSEcclésiaste אַחֲרִ֥ית דָּבָ֖ר מֵֽרֵאשִׁיתֹ֑ו טֹ֥וב אֶֽרֶךְ־ר֖וּחַ מִגְּבַהּ־רֽוּחַ׃Nouveau testament grec - 2010 - SBLGNTEcclésiaste verset n’existe pas dans cette traduction !Laseule chose qui me semble irréalisable pour l'instant est le papier "nuit torride" car elle n'est pas prête à ça pour l'instant. Elle me l'a dit, "je suis prête à faire des efforts mais ne pense pas que nous allons faire l'amour dans 2 jours". Chose que je comprend car son désir doit être au point zéro. En effet, ne lui ayant que très peu fait ressentir mes sentiments, elle a
Conseils de sagesseLes épreuves et la sagesse 1 Une bonne réputation vaut mieux que le bon parfum, et le jour de la mort que le jour de la naissance. 2 Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d’aller dans une maison de festin ; car c’est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à cœur. 3 Mieux vaut le chagrin que le rire ; car avec un visage triste le cœur peut être content. 4 Le cœur des sages est dans la maison de deuil, et le cœur des insensés dans la maison de joie. 5 Mieux vaut entendre la réprimande du sage que d’entendre le chant des insensés. 6 Car comme le bruit des épines sous la chaudière, ainsi est le rire des insensés. C’est encore là une vanité. 7 L’oppression rend insensé le sage, et les présents corrompent le cœur. 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. 9 Ne te hâte pas en ton esprit de t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des insensés. 10 Ne dis pas D’où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux ci ? Car ce n’est point par sagesse que tu demandes cela. 11 La sagesse vaut autant qu’un héritage, et même plus pour ceux qui voient le soleil. 12 Car à l’ombre de la sagesse on est abrité comme à l’ombre de l’argent ; mais un avantage de la science, c’est que la sagesse fait vivre ceux qui la possèdent. 13 Regarde l’œuvre de Dieu qui pourra redresser ce qu’il a courbé ? 14 Au jour du bonheur, sois heureux, et au jour du malheur, réfléchis Dieu a fait l’un comme l’autre, afin que l’homme ne découvre en rien ce qui sera après lui. 15 J’ai vu tout cela pendant les jours de ma vanité. Il y a tel juste qui périt dans sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge son existence dans sa méchanceté. 16 Ne sois pas juste à l’excès, et ne te montre pas trop sage pourquoi te détruirais-tu ? 17 Ne sois pas méchant à l’excès, et ne sois pas insensé pourquoi mourrais-tu avant ton temps ? 18 Il est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne négliges point cela ; car celui qui craint Dieu échappe à toutes ces choses. 19 La sagesse rend le sage plus fort que dix chefs qui sont dans une ville. 20 Non, il n’y a sur la terre point d’homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais. 21 Ne fais donc pas attention à toutes les paroles qu’on dit, de peur que tu n’entendes ton serviteur te maudire ; 22 car ton cœur a senti bien des fois que tu as toi-même maudit les sagesse et les hommes 23 J’ai éprouvé tout cela par la sagesse. J’ai dit Je serai sage. Et la sagesse est restée loin de moi. 24 Ce qui est loin, ce qui est profond, profond, qui peut l’atteindre ? 25 Je me suis appliqué dans mon cœur à connaître, à sonder, et à chercher la sagesse et la raison des choses, et à connaître la folie de la méchanceté et la stupidité de la sottise. 26 Et j’ai trouvé plus amère que la mort la femme dont le cœur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens ; celui qui est agréable à Dieu lui échappe, mais le pécheur est pris par elle. 27 Voici ce que j’ai trouvé, dit l’Ecclésiaste, en examinant les choses une à une pour en saisir la raison ; 28 voici ce que mon âme cherche encore, et que je n’ai point trouvé. J’ai trouvé un homme entre mille ; mais je n’ai pas trouvé une femme entre elles toutes. 29 Seulement, voici ce que j’ai trouvé, c’est que Dieu a fait les hommes droits ; mais ils ont cherché beaucoup de détours.
Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. » Voyez cette chenille rampante, combien son apparence est méprisable ! Elle est le commencement d’une chose.
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Mieuxvaut la fin d’une chose, par la suite, que son commencement (Eccl. 7:. Ces dernières années, plusieurs filiales ont fusionné. Bien qu’ils obligent les frères et sœurs de ces filiales à
Ecclésiaste 78 vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit Bible catholique Crampon 1923Plans de lecture et de méditation gratuits en rapport avec Ecclésiaste 78
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La chose la plus difficile est de n'attribuer aucune importance aux choses qui n'ont aucune importance7 Une bonne réputation* vaut mieux qu’une bonne huile+, et le jour de la mort vaut mieux que le jour de la naissance. 2 Mieux vaut aller à la maison de deuil qu’à la maison de banquet+, parce que c’est là la fin de tout homme, et les vivants doivent prendre cela au sérieux. 3 Mieux vaut la détresse que le rire+, car la tristesse du visage rend le cœur meilleur+. 4 Le cœur des sages est dans la maison de deuil, mais le cœur des stupides est dans la maison de réjouissance*+. 5 Mieux vaut écouter la réprimande d’un sage+ que le chant des stupides. 6 Car le rire du stupide est comme le crépitement d’épines qui brûlent sous la marmite+ ; cela aussi est futile. 7 Mais l’oppression peut rendre fou un sage, et un pot-de-vin corrompt le cœur+. 8 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut être patient qu’avoir l’esprit hautain+. 9 Ne te vexe pas pour un rien*+, car la susceptibilité loge chez les stupides*+. 10 Ne dis pas Pourquoi les jours d’autrefois étaient-ils meilleurs que ceux-ci ? » Car ce n’est pas la sagesse qui te dicte cette question+. 11 La sagesse avec un héritage est une bonne chose et un avantage pour ceux qui voient la lumière du jour*. 12 Car la sagesse est une protection+ tout comme l’argent est une protection+, mais voici l’avantage de la connaissance la sagesse préserve la vie de celui qui la possède+. 13 Regarde l’œuvre du vrai Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu+ ? 14 Dans un jour bon, fais toi-même preuve de bonté*+, et dans un jour de malheur, considère que Dieu les a faits l’un et l’autre+, afin que les hommes ne sachent pas avec certitude* ce que l’avenir leur réserve+. 15 Durant ma vie futile+, j’ai tout vu depuis le juste qui périt dans sa justice+ jusqu’au méchant qui vit longtemps malgré sa méchanceté+. 16 Ne sois pas juste à l’excès+ et ne te montre pas exagérément sage+. Pourquoi causerais-tu ta propre ruine+ ? 17 Ne sois pas excessivement méchant et ne sois pas stupide+. Pourquoi mourrais-tu avant l’heure+ ? 18 Mieux vaut saisir le premier avertissement* sans lâcher le deuxième*+ ; car celui qui craint Dieu les suivra tous les deux. 19 La sagesse rend un sage plus puissant que dix hommes forts présents dans une ville+. 20 Car il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui fasse toujours le bien et ne pèche jamais+. 21 De plus, ne prends pas au sérieux toutes les paroles que les gens disent+ ; autrement, tu pourrais entendre ton serviteur te maudire* ; 22 car tu sais parfaitement dans ton cœur que, bien des fois, tu as toi-même maudit les autres+. 23 Tout cela, je l’ai expérimenté avec sagesse, et j’ai dit Je veux devenir sage. » Mais c’était hors de ma portée. 24 Ce qui s’est produit est inaccessible et extrêmement profond. Qui peut le comprendre+ ? 25 J’ai ordonné à mon cœur de connaître, d’explorer et de rechercher la sagesse et la raison des choses, ainsi que de comprendre la méchanceté de la bêtise et la stupidité de la folie+. 26 J’ai alors découvert ceci Plus amère que la mort est la femme qui est comme un filet de chasse, dont le cœur est comme des filets de pêche* et dont les mains sont comme des chaînes de prison. Celui qui plaît au vrai Dieu lui échappera+, mais le pécheur est capturé par elle+. 27 Voici ce que j’ai découvert, dit le rassembleur+. J’ai examiné une chose après l’autre pour parvenir à ma conclusion, 28 mais ce que j’ai cherché continuellement, je ne l’ai pas trouvé. Sur mille personnes, j’ai trouvé un homme droit, mais je n’ai pas trouvé de femme droite. 29 J’ai seulement découvert ceci le vrai Dieu a fait les humains droits+, mais eux ont suivi leurs propres plans+. » Notes d'étude Documents multimédiasLesmeilleurs proverbes sur commencer : Un bon commencement est la moitié de l'œuvre. Le plus doux en amour, c'est le commencement. Qui a su bien commencé est déjà bien avancé. Ne jamais commencer vaut mieux que ne jamais finir. Un heureux commencement est la moitié de l'œuvre. La fin et le commencement ne se ressemblent pas toujours.
Ce dictionnaire contient 59 citations et pensées d'auteurs célèbres français ou d'auteurs étrangers sur le mot commencement. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur commencement issus des quatre coins du monde Le grain qui pourrit pourrait dire Je meurs. C'est le commencement de sa vie multipliée. Alexandre Weill ; Les glanes d'esprit 1874 Comme le livre, l'homme a deux pages blanches au commencement et à la fin. L'enfance et la vieillesse. Alexandre Weill ; Le petit trésor d'esprit 1874 Gare aux commencements ! ils décident de tout le reste. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 25 mars 1868. On dit qu'on ne voudrait pas recommencer sa vie, et on tient à la continuer. Quelle inconséquence ! On sait pourtant que le meilleur est au commencement. Diane de Beausacq ; Les pensées et maximes de la vie 1883 En toute chose, il faut soigner ses commencements, tout le reste en dépend. Victor Cherbuliez ; Les pensées extraites de ses œuvres 1913 L'indécision est une grande flatteuse des amours-propres tant qu'on n'entreprend que d'une façon provisoire, notre vanité a derrière elle une porte ouverte ; nous pouvons toujours abandonner ce commencement malheureux sous le prétexte honnête que nous avons changé d'avis. Antonin Rondelet ; Les mémoires d'un Homme du monde 1861 Le siècle est avancé, et pourtant chacun commence par le commencement. Johann Wolfgang von Goethe ; Les maximes et réflexions 1749-1832 Les âmes incertaines n'ont que des demi-volontés et des commencements, de pâles lueurs de vertu. Victor Cherbuliez ; La vocation du comte Ghislain 1888 Le commencement est la moitié de tout. Pythagore ; Les fragments - VIe s. av. Parmi les gens qui ont eu de petits commencements, les uns répudient leur passé et tâchent de l'oublier ; les autres prennent un plaisir extrême à le rappeler. Victor Cherbuliez ; Les amours fragiles 1880 L'estime est le commencement de l'amour pour les cœurs bien placés. Pierre-Jules Stahl ; Le voyage d'un étudiant 1861 Le commencement du bonheur, c'est d'espérer ce qu'on désire. Robert Mauzi ; L'idée de bonheur dans la littérature française 1960 Du commencement on peut augurer la fin. Quintilien ; De l'institution oratoire, V - env. 90 ap. L'excuse de l'infidélité, c'est qu'il n'y a rien d'aussi agréable que les commencements amoureux. Édouard Herriot ; Les notes, pensées et maximes 1961 Le mortel qu'un dieu daigne conduire voit toujours un commencement prospère couronné d'une fin glorieuse. Pindare ; Les odes pythiques - Ve s. av. Un commencement d'affection n'est que le regret d'avoir mal fait. Pierre-Jules Stahl ; Vie et options philosophiques d'un pingouin 1841 Souvent le paradoxe est le commencement d'une vérité. Pierre Choderlos de Laclos ; De l'éducation des femmes 1783 À chose faite, il faut bien qu'il y ait commencement. Nicolas Machiavel ; L'histoire de Florence 1521-1525 En amour, s'il n'y a que les commencements qui soient charmants, alors je ne m'étonne pas qu'on trouve du plaisir à recommencer si souvent ! Charles-Joseph de Ligne ; Mes écarts ou ma tête en liberté 1796 La fin de la jeunesse n'est pas la fin des illusions. C'en est le commencement. Illusion qu'on ne peut rien contre le monde, qu'il est le plus fort, que la sagesse consiste à se coucher devant lui comme un chien, moyennant quoi il consent à vous donner la pâtée. Jean Dutourd ; Henri ou l'éducation nationale 1983 Les commencements de l'amour se situent toujours en dehors du monde. Lorsque deux personnes se découvrent, il se passe quelques jours pendant lesquels elles vivent dans une sorte d'absolu, de paradis solitaire où nul ne vient les déranger. C'est après, passé les premières découvertes, quand l'amour s'installe, avec son intendance, c'est-à-dire avec tous ses aménagements matériels, les rendez-vous, les escapades, les lieux secrets où l'on se rencontre, les camouflages, les ajustements d'heures, etc., que le monde se remet à peser. Jean Dutourd ; Les œuvres romanesques 1979 Au commencement de la vie, l'homme est tellement gonflé d'existence, qu'il la répand de tous côtés, il voudrait avoir autant d'amis qu'il y a d'hommes sur terre, il ne pense qu'à étendre ses relations, il veut connaître et être connu. Alphonse Karr ; Une heure trop tard 1833 Prudence est commencement de sagesse. Pierre-Jules Stahl ; Les pensées et réflexions diverses 1841 L'enfance est le commencement de l'humanité. Henri Lacordaire ; Conférence de Notre-Dame de Paris, 17 1835 Rien de grand n'a jamais eu de grands commencements. Laure Conan ; À l'œuvre et à l'épreuve 1891 Les commencements vigoureux réussissent quelquefois, mais la suite n'y répond pas. Etienne François de Vernage ; Nouvelles réflexions morales et politiques 1696 Le début, chose étrange, est les trois-quarts de l'œuvre. L'impression première est une obsession ; on ne répare guère une fausse manœuvre ; qu'est un commencement ? Une imprégnation. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 16 octobre 1872. Mille commencements ne font pas une histoire ; on n'aboutit à rien sans se continuer. Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime, le 29 août 1872. Quand le commencement d'une journée est bon, d'ordinaire la fin n'est pas mauvaise. Nicolas Machiavel ; L'entremetteuse maladroite 1513 Connaître son mal est le commencement de la guérison. Fernando de Rojas ; La Célestine - XVIe siècle.
Car« la règle d’or c’est précisément qu’il n’y en a pas » ! Mais retenons ceci, « la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ». Vous allez certainement être éprouvé(e) mais l’une des caractéristiques de l’entrepreneur est qu’il n’est pas ancré dans un mouvement linéaire, mais davantage cyclique."Démas m'a abandonné, par amour pour le siècle présent, et il est parti pour Thessalonique… Prends Marc, et amène-le avec toi, car il m'est utile pour le ministère" 2 Timothée la vie, nous avançons toujours dans de bonnes ou de mauvaises directions. C'est pourquoi la question n'est pas de savoir si nous évoluerons, mais plutôt, dans quel sens allons-nous évoluer ? Dans ce passage, Paul nous parle de deux parcours opposés celui de Démas et celui de Marc. Considérons premièrement la vie de Démas dans un ordre chronologique les Écritures le mentionnent à trois reprises. La première fois, elles soulignent son statut de compagnon d'oeuvre de l'apôtre Paul "Epaphras, mon compagnon de captivité en Jésus-Christ, te salue, ainsi… Démas, Luc, mes compagnons d'oeuvre" 2 Timothée Démas avait bien commencé sa course mais il l’avait mal finie. Regardons maintenant Jean, surnommé Marc. La première fois qu'il nous est parlé de son ministère, c’est pour en évoquer son abandon "Jean, surnommé Marc, se sépara d'eux, et retourna à Jérusalem" Actes Quelle tragédie de commencer le ministère par un abandon ! Puis, par la grâce de Dieu, son cousin Barnabas "fils de l'encouragement" s'occupa de lui. Durant une dizaine d'années on n’entendit plus parler de Marc. Pourtant il revint sur le devant de la scène. Paul lui-même l'appela son compagnon d'oeuvre Philémon 24 ; 2 Timothée Paul a déclaré qu'il lui était "utile pour l'oeuvre du ministère". Autrement dit, malgré un mauvais départ, Marc acheva victorieusement sa course ! La Bible dit "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" Ecclésiaste C’est une grâce que de bien débuter votre vie chrétienne, mais n'oubliez pas de tenir ferme en Christ jusqu’au bout. Une prière pour aujourd'hui Seigneur, tu ne méprises pas les petits commencements et tu n'éteins pas le lumignon qui fume. Aussi quel que soit mon état de ce jour, donne-moi la force d'aller jusqu'au bout. Amen. Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !LaBible dit : "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement" (Ecclésiaste 7.8). C’est une grâce que de bien débuter votre vie chrétienne, mais n'oubliez pas de tenir ferme en Christ jusqu’au bout. Une prière pour aujourd'hui Seigneur, tu ne méprises pas les petits commencements et tu n'éteins pas le lumignon qui fume. Aussi Jean 2 verset 1 à 10 De ce thème, nous verrons successivement ; - Le contexte - L'impératif contenu dans ce texte - La signification de ces impératifs - La réaction de l'ordonnateur du mariage - Les leçons De quoi s'agit-il dans ce texte ? nous voyons Jésus qui s'en va à Galilée la partie nord d'Israël. Au troisième jour de son périple, il est invité à des noces, c’est-à-dire à un mariage. Le marié devait être riche car inviter jésus, cela impliquait déjà 13 personnes. Et si nous imaginons que la famille de Jésus était présente, nous pouvons compter environ une vingtaine de personnes. Dans le déroulé de la cérémonie, Marie, en bonne Mère, veille au grain. Elle fait un constat alarmant. Le vin manquait. Connaissant Jésus depuis la visitation de l'ange Gabriel, elle sait qu'on n'a pas besoin de chercher la solution ailleurs qu'en Jésus. Alors, allant ver lui. Elle lui donne l'information suivante "ils n'ont plus de vin". La réponse du Seigneur semble au premier abord, froide et distante. Mais paradoxalement c'est une réponse qui indique avec douceur que Jésus n'est plus soumis aux "pesanteurs de la Terre" c’est-à-dire qu'il n'est plus soumis aux réalités terrestres, mais plutôt qu'il est connecté au Ciel pour accomplir la volonté de DIEU. Ainsi à l'alternative de se soumettre à la parenté physique la mère biologique, il Jésus se soumet au Père Céleste. Or très souvent, on se soumet aux réalités terrestres plutôt qu'aux réalités du Ciel. Amen Quels sont les impératifs de cette situation ? ils sont de 4 ordres. Marie a un 1 impératif, mais Jésus dans sa divinité, en a trois 3. Telle une prédicatrice, Marie dit aux serviteurs "Faites tout ce qu'il vous dira". Elle parle, non pas aux disciples du Seigneur, mais aux serviteurs de l'époux. Si elle était une prédicatrice programmée pour prêcher dans notre Communauté, Les Béatitudes Abidjan-Plateau, elle serait peut-être fustigée. Car elle dit de faire TOUT ce que le Seigneur dira. C'est le genre de sermon que l'on entend difficilement de nos jours. Curieusement Marie a été écoutée des serviteurs. Nous pouvons remarquer les instructions suivantes du Seigneur ; - Remplissez d'eau ces vases ces vases dont il est question, sont des amphores, c’est-à-dire des récipients faits en terre cuite, de grande capacité des jarres de 60 à 75 litres. Ils étaient utilisés pour les actes de purification et pour les ablutions baptême des mains et lavage des pieds. Ce n'est pas une eau destinée à la consommation. Imaginez un Comité d'Organisation confronté à une telle situation en pleine cérémonie de mariage. - Puisez le Seigneur donne une instruction qui semble bizarre, en regard du contexte - Apportez-en à l'ordonnateur il est encore plus bizarre de puiser de l'eau, dans un récipient impropre à la consommation humaine. Puis de se présenter devant le maître des lieux pour la lui présenter de la part d'un inconnu. Cela demande de la foi, car la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. Ces serviteurs obéissent en raison d'une foi qu'ils ont placé à un inconnu. Quelle signification ? Ce qu'il faut retenir, c'est que premièrement le Seigneur se sert des moyens existants de notre entourage pour accomplir des miracles. Mais en utilisant les serviteurs et non ses disciple, Jésus veut bannir tout motif de subterfuge ou de tricherie dans l'esprit des gens, dans notre esprit. C'était une possibilité probable vu la pensée humaine. En effet, beaucoup croient plus au diable qu'à DIEU. Certains auraient pu voir en cette scène un montage. De nos jours, beaucoup ne croient pas à la parole de connaissance. On crie facilement aux faux prophètes, sans considérer que s'il en est de faux prophètes, c'est qu'il en existe de vrais également. Or Jésus avait déjà annoncé dans sa Parole que des signes accompagnerait ses disciples que nous sommes. Les miracles seront là. Quelle est la réaction de l'ordonnateur ? Quant à la réaction de l'ordonnateur on parlerait de nos jours du Président du Comité d'Organisation, le PCO, il y a une prise de conscience que quelque chose d'inhabituel s'est produit à Cana. En tant qu'organisateur de mariages, il a l'habitude de leur déroulement, et il connait les usages et ses rituels précis, telle une liturgie. En effet, du bon usage, on présente le bon vin puis on continue ensuite avec le vin de moins bonne qualité, lorsque l'assemblée est moins lucide. En effet, les vins ont leur classification. Dans notre contexte, on pourrait dire que Jésus a déformé la liturgie, il renverse les habitudes. De la manière que l'ordonnateur a reconnu l'excellence de la qualité du vin, il ira en témoigner à l'époux. De cette même manière la présence de Jésus nous met dans l'excellence, dans l'extraordinaire. Quand le contact avec le seigneur se produit, il y a des témoignages. Quelles leçons ? On peut en retenir trois 3 ; La première le monde offre le meilleur au début et la lie, à la fin. Pour imager, nous pouvons prendre le mariage. Le début est faste et joyeux. Mais souvent, chemin faisant, on oublie ces moments de bonheur. C'est parfois le cas des amitiés. En effet, c'est souvent le tableau que nous offre le monde. C'est pourquoi la fin d'année est parfois assimilée dans les esprits, à de mauvais présages, et qu'elle est sujette à des angoisses et à des anxiétés. On redoute souvent ce moment, parce que le monde nous a habitué à voir en le commencement, ce qu'il y a de meilleur et le moins bon à la fin. C'est pour dire que lorsque nous sommes en Jésus, nous n'avons plus la conception du monde. Les gens du monde vivent et agissent selon le monde. Mais nous les chrétiens, croyons que nous avançons chaque jour vers la Jérusalem Céleste. Et que le meilleur reste à venir. La seconde si nous obéissons aux impératifs de DIEU, même lorsque cela ne nous arrange pas, nous avons toujours la victoire car les réalités célestes prévalent toujours sur celles du monde. Il y aura certainement des épreuves, mais nous avons l'assurance que nous sommes plus que vainqueurs dans les tribulations. La troisième DIEU nous dit dans sa Parole que la fin d'une chose vaut mieux que son commencement. Car la réalité est que lorsque nous prenons un temps de recueillement, c'est un temps où DIEU nous écoute. Même si le diable est très actif dans ces temps, cela nous exerce à être meilleur. Attendons-nous donc au meilleur. Car le Chrétien qui a une vie propre est celui qui a les genoux sales. Et celui qui a les genoux propres, a une vie sale devant le Seigneur. Quel est l'état spirituel de nos genoux ? Persévérons dans la prière. Allons jusqu'au bout. Dieu n'a jamais dit que les difficultés n'existeraient pas, il n'a pas dit que nous n'aurions pas d'épreuves, il n'a pas dit que nous serions exempts d'attaques, mais DIEU nous rassure qu'il est avec nous tout le temps Il est EMMANUEL, il est toujours avec nous, dans la plaine, dans la vallée, sur la montagne, etc. DIEU est avec nous. Alors, avançons dans cette assurance, et soyons convaincus que jusqu’au 31 décembre, seule la volonté de DIEU s'imposera dans nos vies et celle de notre famille, au nom de Jésus. Amen.
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RT@mbaya_cedrick: Vaut mieux la fin d'une chose que son commencement !!! Kolo mabanga !!! 25 Aug 2022 21:59:14
17 février 2010 3 17 /02 /février /2010 1555 MIEUX VAUT LA FIN D’UNE CHOSE QUE SON COMMENCEMENT » Ecclésiastes 7 8 Rien ne sert de courir, il faut partir à point Le lièvre et la tortue en sont un témoignage Source de l'image Le lièvre et la tortue - Illustration du livre des fables d'Esope daté de 1919 - Artiste américain Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point Sitôt que moi ce but. ─ Sitôt ? Etes vous sage ? Répartit l’animal léger. Ma commère, il vous faut purger Avec quatre grains d’ellébore. ─ Sage ou non, je parie encore. » Ainsi fut fait ; et de tous deux On mit près du but les enjeux. Savoir quoi, ce n’est pas l’affaire, Ni de quel juge l’on convint. Notre Lièvre n’avait que quatre pas à faire ; J’entends de ceux qu’il fait lorsque, prêt d’être atteint, Il s’éloigne des chiens, les renvoie aux calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter, Pour dormir, et pour écouter D’où vient le vent, il laisse la tortue Aller son train de sénateur. Elle part, elle s’évertue ; Elle se hâte avec lenteur. Lui cependant méprise une telle victoire, Tient la gageure à peu de gloire, Croit qu’il y va de son honneur De partir tard. Il broute, il se repose ; Il s’amuse à toute autre chose Qu’à la gageure. À la fin quand il vit Que l’autre touchait presque au bout de la carrière, Il partit comme un trait ; mais les élans qu’il fit Furent vains la tortue arriva la première. Eh bien, lui cria-t-elle, avais-je pas raison ? De quoi vous sert votre vitesse ? Moi l’emporter ! Et que serait-ce Si vous portiez une maison ? » La Fontaine aurait pu ajouter Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement » Quand on raconte une histoire, tout le monde attend la fin, la conclusion. Vous connaissez cette happy end » souvent utilisée dans les contes ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants ! » Là, aucun suspense ! La vie nous enseigne ce que l’Ecclésiaste – Salomon – avait constaté dans sa sagesse on est heureux d’attendre un dénouement, la fin d’une attente, un résultat match, examen… Cette formule mieux vaut la fin… » ne signifie pas que la fin est toujours heureuse, mais que ce qui compte vraiment, c’est cette fin, ce qui se passe au bout, beaucoup plus que ce qu’il y a eu au début. Le vrai sens du mot traduit par fin est plutôt celui d’aboutissement, d’arrivée. Donnez des exemples dans votre vie où vous attendez une fin, un dénouement qui compte, quand fin » rime avec enfin ». ……………………. …………………….. Pourquoi attendons-nous une fin ? Souvent, la fin d’une chose cède la place à quelque chose de nouveau une page se tourne. Cela veut dire qu’on est arrivé à une conclusion, qu’on n’ira pas plus loin, qu’on a pu tirer un bilan, quitte à rebondir. Mais ce qui compte à l’heure de la fin » - fin d’une étape fin d’une chose », c’est précisément son bilan, heureux ou malheureux. C’est ce que nous allons retenir, ce dont nous allons nous souvenir. Hébreux 13 7 dit Souvenez–vous de vos conducteurs qui vous ont annoncé la parole de Dieu ; considérez quelle a été la fin de leur vie, et imitez leur foi. » La valeur de notre vie, c’est son aboutissement. A la fin, on a fait ses preuves, on a réalisé et concrétisé des choses alors qu’au commencement, tout est encore incertain, rien n’est acquis. Quand on célèbre la mémoire d’une personnalité disparue, c’est bien plus souvent 10, 30, 50, 100 ans après sa mort plutôt qu’après sa naissance. Ainsi, a-t-on fêté » Mozart en 1991 lors du bicentenaire de sa mort, mais pas pour celui de sa naissance. Quelle œuvre accomplie pour un homme mort à l’âge de 35 ans. Il en est de même pour notre vie chrétienne on évolue à partir d’un point de départ, et on évoluera quoiqu’il advienne, d’une façon ou d’une autre. Mais ce qui comptera, c’est ce qui sera resté à la fin. Des initiatives brouillonnes, sans lendemain, des promesses non tenues seront comme de la fumée qui part dans le ciel, se dissipe... Mais la ligne directrice de notre conduite, ce qui fait qu’on voit notre trace, notre trajectoire, et son aboutissement final, son but, c’est cela qui restera, aux yeux des hommes et, encore plus important, aux yeux de Dieu. Quelle est ta trajectoire, la vois-tu seulement ? Galates 3 1 O Galates insensés ! qui vous a fascinés, vous, aux yeux de qui a été dépeint Jésus–Christ crucifié ? 2 Voici seulement ce que je veux apprendre de vous Est–ce en pratiquant la loi que vous avez reçu l’Esprit, ou en écoutant avec foi ? 3 Etes–vous tellement insensés ? Après avoir commencé par l’Esprit, allez–vous maintenant finir par la chair ? Là, il s’agissait de retenir les Galates de sombrer dans la religion, après qu’ils aient commencé leur salut dans la liberté de l’Esprit. Mieux vaut la fin = l’aboutissement d’une chose que son commencement ». Histoires bibliques de bonnes fins Joseph a reçu très jeune, par songes, des promesses divines, mais il a ensuite connu un dur parcours, séparé de sa famille, vendu par ses frères, injustement condamné, etc. mais ce qui est important, c’est la fin et ce que sa vie a permis. Lors de la rencontre qu’il provoqua avec ses frères venus en Egypte chercher du grain pour échapper à la famine, il leur dit imaginez la scène Genèse 45 4 …Je vous en prie, approchez–vous de moi. Alors ils s’approchèrent. Il dit Je suis Joseph, votre frère, que vous avez vendu pour être mené en Égypte. 5 Maintenant, ne vous affligez pas et ne soyez pas fâchés de m’avoir vendu pour être conduit ici, car c’est pour vous garder en vie que Dieu m’a envoyé devant vous. 6 Voilà deux ans qu’il y a la famine dans le pays ; et pendant cinq années encore, il n’y aura ni labour, ni moisson. 7 Dieu m’a envoyé devant vous pour vous assurer un reste dans le pays et pour vous permettre de survivre par une grande délivrance. 8 Maintenant donc, ce n’est pas vous qui m’avez envoyé ici, mais c’est Dieu ; il m’a établi père du Pharaon, seigneur de toute sa maison et gouverneur de tout le pays d’Égypte. Quelle force d’âme, quel sens de sa destinée, conduite par Dieu ! Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». La fidélité et l’obéissance de Daniel ont été récompensées par la délivrance que Dieu lui accorda, d’abord de la fournaise ardente, avec ses deux compagnons Meschec et Abed-Nego, puis de la fosse aux lions, où le roi perse Darius avait été contraint de le mettre Daniel 6 19 Le roi se leva au point du jour, avec l’aurore, et alla précipitamment à la fosse aux lions. 20 En s’approchant de la fosse, il appela Daniel d’une voix triste. Le roi prit la parole et dit à Daniel Daniel, serviteur du Dieu vivant, ton Dieu, que tu sers avec persévérance, a–t–il pu te délivrer des lions ? 21 Et Daniel se mit à parler au roi Roi, vis à jamais ! 22 Mon Dieu a envoyé son ange et fermé la gueule des lions qui ne m’ont fait aucun mal, parce que j’ai été trouvé innocent devant lui ; et devant toi non plus, ô roi, je n’ai rien fait de mal. 23 Alors le roi eut une grande joie et ordonna de faire retirer Daniel de la fosse. Daniel fut retiré de la fosse et on ne trouva sur lui aucune blessure, parce qu’il avait eu foi en son Dieu. Et la fin de tout ceci pour la gloire de Dieu. En effet… 25 Après cela, le roi Darius écrivit à tous les peuples, aux nations, aux hommes de toutes langues qui habitaient sur toute la terre Que la paix soit avec vous en abondance ! 26 Je donne l’ordre que, dans toute l’étendue de mon royaume, on ait de la crainte et du respect devant le Dieu de Daniel. Car il est le Dieu vivant et il subsiste à jamais ! Son royaume ne sera jamais détruit. Et sa domination durera jusqu’à la fin. 27 C’est lui qui sauve et délivre, qui opère des signes et des prodiges dans les cieux et sur la terre. C’est lui qui a sauvé Daniel de la griffe des lions. 28 Daniel lui–même prospéra sous le règne de Darius et sous le règne de Cyrus le Perse. Là encore, mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Le juste Job fut soumis à une épreuve terrible, que peu d’hommes pourraient supporter il perdit ses enfants, ses biens, sa santé. L’épreuve atteint même son apogée avec les reproches et la condamnation voilée de ses amies, mais quelle fut sa fin ! Job 42 10 L’Éternel rétablit la situation de Job, quand celui–ci eut prié pour ses amis ; et l’Éternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait possédé. 11 Tous ses frères, toutes ses sœurs et toutes ses connaissances d’autrefois vinrent vers lui et mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l’Éternel avait fait venir sur lui, et ils lui donnèrent chacun une qesita et chacun un anneau d’or. 12 L’Éternel bénit la dernière partie de la vie de Job plus que la première ... 13 Il eut sept fils et trois filles… 15 Il ne se trouvait pas dans tout le pays d’aussi belles femmes que les filles de Job… 16 Job vécut après cela 140 ans ; il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu’à la quatrième génération. 17 Puis Job mourut âgé et rassasié de jours. Mais Job avait appris une grande leçon ne rien reprocher à Dieu, en s’humiliant sous sa main Job 42 1 Job répondit alors à l’Eternel 2 Je sais que tu peux tout, et que rien ne saurait t’empêcher d’accomplir les projets que tu as conçus. 3 Qui ose, disais–tu, obscurcir mes desseins par des discours sans connaissance ? » Oui, j’ai parlé sans les comprendre de choses merveilleuses qui me dépassent et que je ne connaissais pas. 4 Ecoute, disais–tu, c’est moi qui parlerai je vais te questionner, et tu m’enseigneras. » 5 Jusqu’à présent j’avais seulement entendu parler de toi. Mais maintenant, mes yeux t’ont vu.. 6 Aussi je me condamne, je regrette mon attitude en m’humiliant sur la poussière et sur la cendre. Jacques cite Job dans son épître Jacques 511 Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Néhémie, dont le cœur était brisé pat l’état de sa ville de Jérusalem, demanda au roi de Perse de l’envoyer sur place la rebâtir. Il fallait d’abord s’attaquer aux murailles, tâche énorme, car elles étaient en ruine. Il réussit à mobiliser les habitants, de toutes professions, résolu à résister aux manœuvres des ennemis extérieurs et il rebâtit la muraille en 52 jours. Pour décourager les Israélites, leurs ennemis disaient Néhémie 4 1 Lorsque Sanballat apprit que nous rebâtissions la muraille, il fut en colère et très mécontent. 2 Il se moqua des Juifs. Il dit… Que font ces Juifs impuissants ? Les laissera–t–on faire ? Sacrifieront–ils ? Vont–ils achever ? Redonneront–ils vie à des pierres ensevelies sous des monceaux de poussière et incendiées ? Il y eut d’autres combats, d’autres menaces, mais Néhémie en sortit vainqueur, il fit front, dans la prière et en restant ferme dans sa position, sans faiblir La muraille fut achevée le 25 du mois d’Éloul en 52 jours. 16 Lorsque tous nos ennemis l’apprirent, tous les païens qui étaient autour de nous furent dans la crainte ; ils furent très humiliés à leurs propres yeux et s’aperçurent que l’ouvrage avait été accompli par la volonté de notre Dieu. » Néhémie 6 15 Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement ». Les méchants ont aussi une fin Psaumes 73 12 Ainsi sont les méchants toujours tranquilles, ils accroissent leur richesse. 13 C’est donc en vain que j’ai purifié mon cœur, et que j’ai lavé mes mains dans l’innocence… 16 J’ai donc réfléchi pour comprendre cela ; Ce fut pénible à mes yeux, 17 jusqu’à ce que j’arrive aux sanctuaires de Dieu ; alors j’ai compris le sort final des méchants. 18 Oui, Tu les places sur des voies glissantes, Tu les précipites dans la tourmente. 19 Comment ! En un instant les voilà en pleine désolation, ils sont à bout, achevés par l’épouvante ! 20 Comme un songe au réveil, Seigneur, à ton éveil, tu repousses leur image. 21 Lorsque mon cœur s’aigrissait, et que je me sentais percé dans les reins, 22 j’étais stupide et sans connaissance, avec toi j’étais comme les bêtes. 23 Cependant je suis toujours avec toi, Tu m’as saisi la main droite ; 24 Tu me conduis par ton conseil, puis Tu me recevras dans la gloire. Quelle fin pour Hérode ! Actes 12 21 Au jour fixé, Hérode, revêtu de ses vêtements royaux, prit place sur son trône et leur adressa un discours en public. 22 Le peuple se mit à crier – Ce n’est plus un homme qui parle. C’est la voix d’un dieu. 23 Au même instant, un ange du Seigneur vint le frapper parce qu’il n’avait pas rendu à Dieu l’honneur qui lui est dû. Dévoré par les vers, il expira. Comment certains personnages célèbres ont-ils fini ? Avec quelles paroles ? C’est très instructif sur leur état de conscience devant Dieu. Rabelais eut ces paroles en mourant Tirez le rideau, la farce est jouée ». Et Voltaire finit horriblement, maudissant Dieu, lui, un de nos plus grands philosophes. Notre exemple Jésus Il s’est élevé comme une faible plante » Esaïe 53, et a fini sa vie terrestre sur la croix avant la Résurrection en expirant après avoir prononcé ces mots Tout est accompli ! » Jean 1930 Quand il eut goûté le vinaigre, Jésus dit – Tout est accompli. Il pencha la tête et rendit l’esprit. Cette expression tetelestai » tout est accompli, en grec a été retrouvée sur des documents antiques du temps de Jésus. Elle a plusieurs significations intéressantes. 1° Elle figure comme en-tête de documents commerciaux indiquant que le montant a été payé en totalité. Le premier sens est donc Tout est payé ». Pour solde de tout compte ». De quoi Jésus parlait-il ? De notre dette envers Dieu, de nos offenses, qui nous condamnent devant Dieu. Christ le Juste a payé notre dette à nous, injustes ! 2° On a retrouvé cette expression dans la bouche des artistes devant leur œuvre achevée. tetelestai » mon chef d'œuvre est complet, rien ne peut y être ajouté. Quel était le chef d'œuvre de Christ ? Né en tant qu'homme pour accomplir parfaitement la volonté de Dieu, il fut le seul homme de l'histoire de l'humanité à être obéissant au Père de sa naissance à sa mort. Il est le Parfait, le Juste, le Saint. Sa vie est un chef d'œuvre, sa mort est un chef d'œuvre et sa résurrection en est le couronnement. A sa suite, il nous appartient, comme l’apôtre Paul, de conduire et de terminer notre vie avec Dieu, car ce qui compte, c’est la fin 2 Timothée 4 6 Car, en ce qui me concerne, je suis près d’offrir ma vie comme une libation pour Dieu. Le moment de mon départ est arrivé. 7 J’ai combattu le bon combat. J’ai achevé ma course. J’ai gardé la foi. 8 Le prix de la victoire, c’est–à–dire une justice éternelle, est déjà préparé pour moi. Le Seigneur, le juste Juge, me le remettra au jour du jugement, et pas seulement à moi, mais à tous ceux qui, avec amour, attendent sa venue. Il s’agit d’aller jusqu’au bout, de ne pas être battu juste avant la ligne images de sport qui nous reviennent le claquage qui tue » juste avant la ligne d’arrivée, ou le coureur cycliste qui se relâche en levant les mains en signe de victoire et vient de se faire dépasser. Quant à nous, ne laissons pas le diable nous voler la victoire au dernier moment. Pour cela, il s’agit de respecter les règles de la vie spirituelle 2 Timothée 2 5 On n’a jamais vu un athlète remporter le prix sans avoir respecté toutes les règles. Concrètement, chacun doit donc chercher en toute chose comment sera la fin ? Chaque voie dans laquelle vous marchez, demandez-vous quelle est la fin de cette voie ? Pensez ainsi de la même manière dans tout projet que vous commencez, et dans toute relation que vous entreprenez avec autrui. Par exemple, un jeune homme qui aime une jeune fille, avant de s’engager trop, doit penser quelle sera la fin – l’aboutissement - de cette relation ? Quel sera sa destinée à lui, à elle ? Un homme qui est en désaccord avec sa femme ou l’inverse si ce désaccord grandit, sans réconciliation, doit aussi penser quelle sera la fin de ce désaccord, où le conduira-t-il ? ! Un jeune homme qui commence à se droguer, même avec un pauvre pétard » pour imiter ses camarades, doit aussi penser que sera la fin de cela ? De la même manière, dans toute pratique qui pourrait à la longue se transformer en habitude ou en esclavage, l'homme doit se demander qu’adviendra-t-il à la fin cette pratique ? Pour toute expression qu'il prononce, toute colère qui s'enflamme à l’intérieur de lui, il est vital de se demander quelle en sera la fin ? Quels seront les répliques et les agissements de l’autre ? Où finira sa colère ? Où finira le mot qui n'est pas contrôlé ? Ephésiens 426 Si vous vous mettez en colère, ne péchez point ; que le soleil ne se couche pas sur votre colère. De même, dans tout problème que vous rencontrez, ne désespérez pas, ne vous troublez pas, mais dites plutôt mieux vaut la fin d'une chose que son commencement ». Dites Cela doit finir, ce problème devra nécessairement se terminer. Car la fin est dans les mains de Dieu. Il est compatissant, certainement, mieux vaut la fin de cette chose que son commencement. » Cette façon de penser ne devrait pas s'appliquer seulement à vos problèmes personnels, mais aux difficultés que rencontreraient vos amis et les personnes que vous aimez. Et en remettant évidemment tout cela au Seigneur dans la prière, nous verrons la fin – l’aboutissement – arriver après que nous ayons tout surmonté. Psaumes 126 5-6 Ceux qui sèment avec larmes moissonneront avec cris de triomphe. 6 Celui qui s’en va en pleurant, quand il porte la semence à répandre, s’en revient avec cris de triomphe, quand il porte ses gerbes. Claude Rémond – Nouvelle Alliance – 14 février 2010
La Fin d'une Chose vaut mieux que son Commencement
Ecclesiastes 78 Better [is] the end of a thing than the beginning thereof If the thing is good, other ways the end of it is worse; as the end of wickedness and wicked men, whose beginning is sweet, but the end bitter; yea, are the ways of death, Proverbs 54 1625 ; and so the end of carnal professors and apostates, who begin in the Spirit, and end in the flesh, Galatians 33 2 Peter 220 2 Peter 221 ; but the end of good things, and of good men, is better than the beginning; as the end of Job was, both with respect to things temporal and spiritual, Job 87 4212 ; see Psalms 3737 Matthew 1022 Luke 1625 ; [and] the patient in spirit [is] better than the proud in spirit; patience is a fruit of the Spirit of God; and is of great use in the Christian's life, and especially in bearing afflictions, and tends to make men more humble, meek, and quiet; and such are highly esteemed of God; on them he looks, with them he dwells, and to them he gives more grace; when such who are proud, and elated with themselves, their riches or righteousness, are abominable to him; see Luke 1615 1814 .cheminéequi, parfois, s'emballait en hiver et chauffait outrageusement, avait provoqué le décollement d'une grande partie du papier peint, qui, par endroits, ne tenait plus que par des punaises. De plus, sa couleur était un tantinet défraîchie ! "Mieux vaut la fin d'une chose que son“ commencement" Ecclésiaste 7.8
La fin de toute chose vaut mieux que son commencement. Ainsi explique un adage . Cet adage prend dU SENS que si le début votre but est INSCRIT dans la logique SMARTE spécifique-mesurable-atteignable-réalisable-temporel- éthique Ne commencez pas parce qu’il faut commencer ,mais commencez parce que vous savez ou vous partez c'est à dire ,vous connaissez votre destination. C'est en procédant ainsi que la fin pourra être ne suffit pas de le dire .Ce n'est pas une loterie . Bonne continuation a tous les leaders en face de défis. Never give Up!Vous avez aimé abonnez vous gratuitement pour en recevoir dans votre Leading MAKERCoach Herve Eagle
VidéoTikTok de joyceemma58 (@joyceemma58) : « Le pépé aussi n’a pas sciencé hein 😂😂 la fin d’une chose vaut mieux que le commencement @tiktokivoirien ». Conseil de mémé😫. son original.
Versets les plus Pertinents Ésaïe 4610 J'annonce dès le commencement ce qui doit arriver, Et longtemps d'avance ce qui n'est pas encore accompli; Je dis Mes arrêts subsisteront, Et j'exécuterai toute ma volonté. Apocalypse 2213 Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 2214 Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d'avoir droit à l'arbre de vie, et d'entrer par les portes dans la ville! Apocalypse 18 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout Puissant. 1 Samuel 312 En ce jour j'accomplirai sur Éli tout ce que j'ai prononcé contre sa maison; je commencerai et j'achèverai. Job 87 Ton ancienne prospérité semblera peu de chose, Celle qui t'est réservée sera bien plus grande. Apocalypse 216 Et il me dit C'est fait! Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. Apocalypse 117 Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant Ne crains point! Apocalypse 28 Écris à l'ange de l'Église de Smyrne Voici ce que dit le premier et le dernier, celui qui était mort, et qui est revenu à la vie Ésaïe 446 Ainsi parle l'Éternel, roi d'Israël et son rédempteur, L'Éternel des armées Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n'y a point de Dieu. Ésaïe 4812 Écoute-moi, Jacob! Et toi, Israël, que j'ai appelé! C'est moi, moi qui suis le premier, C'est aussi moi qui suis le dernier. Ésaïe 414 Qui a fait et exécuté ces choses? C'est celui qui a appelé les générations dès le commencement, Moi, l'Éternel, le premier Et le même jusqu'aux derniers âges. Ecclésiaste 311 Il fait toute chose bonne en son temps; même il a mis dans leur coeur la pensée de l'éternité, bien que l'homme ne puisse pas saisir l'oeuvre que Dieu fait, du commencement jusqu'à la fin. Ecclésiaste 78 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. Ecclésiaste 1013 Le commencement des paroles de sa bouche est folie, et la fin de son discours est une méchante folie. Matthieu 208 Quand le soir fut venu, le maître de la vigne dit à son intendant Appelle les ouvriers, et paie-leur le salaire, en allant des derniers aux premiers. Hébreux 73 qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n'a ni commencement de jours ni fin de vie, -mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu, -ce Melchisédek demeure sacrificateur à perpétuité. Alpha et Omega Dieu, l'Éternel Début Eternité, Nature de l' Fin Histoire Jésus Christ, Eternité de Le Future Les Nouveaux Commencements Les Révélations Noms et Titres pour le Christ Préexistence du Christ Un Nouveau Commancement
Lecommencement de la fin. par Frédéric Lordon, 11 août 2011. Le commencement de la fin. ↑. P areilles aux images aériennes du front de tsunami avançant inexorablement vers une côte japonaise dont le sort est scellé, le déploiement de la crise financière depuis trois ans donne une impression d’irrésistible fatalité, avec en prime
Qui suis-je? Bébé Grossesse Ma santé enceinte Mes trimestres de grossesse Vie pratique et grossesse Parents Éducation Vie de couple Motherhood Forums Domi Yodé Recherche Jour Nuit Domi Yodé Recherche The most discussed topics 🔥 Maman inquiète ou Maman confiante ? 0 Mom also needs a Break ! 11 Ne dit-on pas que la fin d’une chose vaut mieux que son commencement ?  4 Je suis enceinte !!! 5 1 post Motherhood 3 Mom also needs a Break ! Et cela à chaque journée 😌 pardomiyode11 15/07/20224 minutes de lectureLAFIN VAUT MIEUX QUE LE COMMENCEMENT: RÉCIT AUTOBIOGRAPHIQUE (French Edition) eBook : N'GUESSAN, CATHERINE: Amazon.co.uk: Kindle Store"Heureux ceux qui sont pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux." Matthieu Des personnes de tous horizons se rassemblèrent autour de Jésus pour l'entendre. Il y avait là des pauvres, des tristes, des humbles, des altruistes, des opprimés, des persécutés, etc. C'est à eux que Jésus prêcha le plus beau des messages. Il leur enseigna à aimer la vie, malgré ses difficultés. A changer leur mentalité, à voir différemment. D'ailleurs, qui peut rendre un seul de ses cheveux blanc ou noir ?Le bonheur, c'est comme l'air. Il vous entoure, il est à votre portée. Certains ratent la course car ils pensent qu'ils ont eu de mauvaises cartes en main au départ de leur vie. Leur expression favorite "Ah, si j'étais mieux né…" devient un handicap supplémentaire, un énorme caillou dans leur chaussure ! Parfois, l'homme croit que c'est en modifiant certaines données, qu'il pourra enfin goûter au bonheur. Cependant, il y a des choses qui ne changeront jamais. La couleur de votre peau, les parents que vous avez eus, le pays et l'époque où vous êtes né, certains traits physiques taille, couleur des yeux, etc. Certains évènements que vous ne pouvez pas contrôler comme la vieillesse et la mort. C'est le "sort" de l'être humain. Rejeter cela est une perte de temps et d'énergie. Vivre heureux sous-entend accepter votre-arrière plan avec ce qui est immuable. Il y a une portion de votre vie qui est modifiable et une autre qui ne l'est pas. Avez-vous remarqué combien vous pouvez vous rendre malheureux à force de croire que vous n'êtes pas heureux ? Le bonheur, c'est comme l'air. Il vous entoure, il est à votre portée. Votre idée du bonheur est le plus souvent la cause même de votre malheur car vous pourchassez un mirage ; plus vous vous rapprochez de ce que vous pensez être "le bonheur", plus il s'évapore, car la conception que vous vous en faites est erronée. Le bonheur est le résultat d'une vie exempte de stress et d'inquiétude. Une prière pour aujourd'hui Seigneur, même si je ne suis pas bien né selon mes standards, je réalise que ma vie est entre tes mains.h6UtZ1P.